Portoloin ?

5 : Le nombre de tableaux créés par l'équipe d'architecture pour expliquer le site
6 : Le nombre de matières scolaires à proposer une activité spéciale pour les vacances
15 : Le nombre de membre du personnel ayant décidé de faire bronzette chez les moldus pendant le mois de juillet
11 : Le nombre d'assistants recrutés pour l'été et...
7 : Provenants de Serpentard.
3 : Le nombre de poils de barbe que William a pris avec son nouveau grade
1 : Le nombre de matière qui a annulé son animation faisant ainsi mentir le chiffre 6.
66 : Le nombre de manières différentes de tuer Ben87 imaginées par Deborah Chloé Parker depuis qu'il s'est réincarner en Daniel Hutchinson, la reléguant ainsi à la deuxième place dans la page des D de la Galerie des Portraits.
90 : Le pourcentage de couleurs différentes dans tous les grades portés par Coconut Dynamite, et oui, elle n'a que le vert en double, sur 10 grades !
5 : Nombre de pédouziens ayant un pseudo incluant le mot "bleu"
1 : Nombre de pédouziens ayant un pseudo incluant le mot "jaune"
5 : Nombre de pédouziens ayant un pseudo incluant le mot "vert"
4 : Nombre de pédouziens ayant un pseudo incluant le mot "rouge"
10 : Nombre de minutes passées à réfléchir pour trouver un stratagème débile prouvant que les Serdaigle et les Serpentard dominaient les autres maisons jusque dans leur pseudo.
4 : Le nombre de membres de la Gazette que notre ReC croque-mitaine a fait disparaître depuis mai
1 : Le nombre de membres de la Gazette qui finit dans le ventre de Alexeievna par mois depuis mai
20 : Le nombre de jours avant de voir un article arriver dans la salle de rédaction de la Gazette
30 : Le nombre de jours en moyenne par mois où Alexeievna stresse en se demandant si la prochaine Gazette va arriver dans les temps
17 : Le nombre d'heures qu'il aura fallu à l'équipe de Décoration pour décider de prendre leur nouvel élément.
10 : Le nombre de messages postés dans la section Quidditch ce mois-ci.
3 : Le nombre de fois où Wilde s'est incrusté à une réunion secrète de la Gazette du Sorcier en se faisant passer pour un membre de l'équipe. L'équipe n'y a vu que du feu à chaque fois.
28 : Le nombre de jours qu'il aura fallu à Florence, Pratchett & Blondie pour se rendre compte qu'on essayait de les arnaquer en ne payant pas leur travail du mois précédent.
22 : Le nombre d'images utilisées pour l'illustration du topic. 
7 : Le nombre de fois qu'il m'aura fallu pour compter correctement le chiffre précédent. 
5 : Le nombre de personnes à remplacer dans les équipes de maison. 
12 : Le nombre de choses à faire qu'a trouvé Ignatus pour ne pas faire sa BD. 
3 : Le nombre de Poufsouffle ayant été dans la direction depuis la création de P12. 
1 : Le nombre de Serdaigle actuellement dans la direction.
1 : Le nombre de Gryffondor actuellement dans la direction.
1 : Le nombre de Serpentard actuellement dans la direction.
2 : Le nombre Poufsouffle actuellement dans la direction.
0,75 : Le nombre de seconde qu'il vous faut pour comprendre que c'est désormais Poufsouffle qui domine le site. 
75 : Le nombre de jours qu'il vous faut pour comprendre que c'est désormais Poufsouffle qui domine le site si vous êtes à Poufsouffle.
4 : Le nombre de fois où les DA sont venus poster dans notre trépidante salle de rédaction en un mois.

Article par l'équipe de la Gazette, illustré par Avery

L’été, c’est chaque année la même chose. Chez les moldus, la tendance est à ce qu’on appelle les cartes postales. Mais à quoi servent-elles vraiment ? A rien, je vous le dis. A par peut-être à donner des nouvelles de vous en vacances à vos proches, à narguer vos amis qui sont restés bloqués au travail et qui ne rêveraient que de vous rejoindre, ou simplement à passer le temps parce que finalement, vous vous ennuyez un peu en vacances. 

Mais je vous le dis : il n’y a pas que chez les moldus que la tendance à été lancée et ce depuis des générations avant nous. Il a toujours été coutume de faire partager d’une certaine manière le bon souvenir que l’on a de nos vacances. Autant pour les moldus que pour nous, chers sorciers. Nous aussi avons droit à des vacances, à la découverte du monde et à l’envie de faire partager chaque moment. Le but reste le même ; c’est uniquement le moyen de transport de la dite « carte postale » qui changera tout. 

Au lieu de nous contenter d’employer des gens comme le font les moldus et de les payer afin qu’ils puissent s’offrir aussi les vacances dont ils rêvent ou peut-être, si on regarde plus loin, de nourrir leur famille, nous utilisons comme tout bon sorcier qui se respecte, des hiboux. Tous les employés du Ministère s’évertuent à dire qu’il s’agit là d’un gain de temps pour nous autres sorciers, et que cela permet aux hiboux d’avoir une certaine utilité, autre que celle d’être simplement admirés ou craints. D’ailleurs, il faut bien avouer que nos cartes postales à nous ont autrement la classe. On ne voit pas le paysage de nos rêves dans une image figée, puisque nos photographies sont mouvantes. Le plaisir de recevoir du courrier l’été est donc bien plus attrayant qu’en temps normal ou que pour un moldu. L’usage de la lettre manuscrite reste pourtant chez nous très courante. Pas de « e-mails », de « sms » ou de « coups de félétone ». Rien que la délicatesse des mots sur un parchemin vierge. Et cela nous convient très bien. A part bien sûr pour ceux qui seraient atteints de cette maladie que l’on nomme la flemme ou le fait de n’avoir ni famille ni amis. 

Pourtant, nous avons toujours une préférence à recevoir du courrier l’été. Ces cartes postales changent des factures ou autres courriers administratifs que l’ont reçoit quotidiennement dans sa boîte aux lettres, que l’on soit moldu ou sorcier ! Ce qui a le don d’énerver les responsables de la surveillance du courrier magique dans notre monde. J’ai même entendu dire la semaine dernière par l’un des employés du syndicat des hiboux postaux qu’une grève serait peut-être mise en place dans les mois à venir ou l’été prochain, afin de protester contre la surexploitation de ces animaux nocturnes, et le fait que leurs droits ne sont jamais pris en compte. D’après le syndicat, les hiboux devraient avoir un temps de travail réduit l’été, même si la charge de travail est plus importante, en raison de leur meilleure adaptation à la nuit qu’au jour. Comme les nuits sont bien plus courtes à cette époque de l’année, il devrait être juste que leur temps de travail se voit réduit. Ce sont des animaux qui ont des droits comme nous ». Pour cette dernière affirmation, on repassera. Pour ma part, je pense qu’il serait plus judicieux pour eux de prendre quelques jours ou quelques semaines de vacances et de profiter aussi un peu d’un moment de détente. Mais ce n’est que mon humble avis. 

Seulement, il n’est pas question que des hiboux, puisque dans d’autres régions du monde, ce sont différents types de volatiles qui sont utilisés pour transporter notre précieux courrier. Outre les pigeons et les différents hiboux ou chouettes dont pratiquement tout le monde dispose ici, il existe des volatiles dont on entend peu et qui prennent plus d’importance aujourd’hui dans le service de transport du courrier. On peut par exemple parler du cacatoès ou du perroquet que l’on ne voit plus seulement comme l’oiseau qui répète ce que l’homme dit. Il est aussi fort recommandé pour les sorciers qui souhaitent être certains de l’arrivée de leur colis ou de leur parchemin car c’est un oiseau fiable et qui peut confier n’importe quel message de vive voix. Cependant son utilisation reste encore raisonnée et il n’est visiblement pas trop exploité, en raison de son coût un peu plus onéreux. Les oiseaux exotiques commencent à faire parler d’eux, mais on ne sait pas encore quel sera leur avenir dans cette branche de communication. C’est surtout pour leur apparence et leur finesse qu’ils sont appréciés des personnes qui aiment se distinguer, d’une manière ou d’une autre. 

Le phénix est en revanche le volatile le plus convoité pour l’envoi et la réception du courrier. Parfaitement fiable, rapide et efficace, il attire la convoitise de fortes personnalités du Ministère ou bien même le personnel des grandes institutions magiques, comme c’est le cas à Poudlard12. C’est l’oiseau qui symbolise l’importance, la prestance et parfois l’urgence. Mais sa longévité permet un service de qualité pour quiconque souhaite en posséder un ! Je doute cependant que lui donner des cartes postales de vacances à transporter fasse son bonheur. 

Arrêtons ici de nous plaindre ou de critiquer l’usage des volatiles pour le transport de notre courrier. Nous sommes en fin de compte tous bien content de ne pas avoir des milliers de démarches à faire comme les moldus pour une simple photo ou un morceau de papier. Et dites-moi, qui n’aime pas envoyer ou recevoir un petit morceau de vacances ? Qui donc ? Certainement pas moi, je vous le garantis. Donc si vous ne savez pas quoi faire à part lire votre Gazette à la plage ou pendant une des vos activités, envoyez-moi une jolie photo de vous en maillot de bain si vous êtes un homme et en fashionista pour mesdames !

Blbl, je commence à en avoir ma claque. Carrément. Raison pourquoi je prends la plume. Bon, je prends toujours la plume, tous les jours, mais là, c’est différent. J’ai envie de quitter la Gazette. 

Alors que naguère, je traquais avec fougue et envie les popotins les plus croustillants du château et du monde magique, les dévoilant au public avec classe et raffinement tout en ne mâchant pas mes mots acides, on m’a aujourd’hui reléguée à une place que je ne supporte plus. « Coach ». Sans rire, quoi. Obligée de faire des ronds de jambes à des rédacteurs en herbe qui un jour, me piqueront probablement ma place de rédactrice en chef. Déjà qu’Alexeievna m’est passée devant ce jour-ci, sans la moindre hésitation de la part de Clara… vexée, ça n’est même pas le bon mot. Alors qu’en plus, qu’aujourd’hui, elle me force à aider des gens, je dis non. Surtout que quoi, ils pourraient se bousculer un peu plus au portillon, non ? Mon coaching, personne y vient. Personne ne poste des articles ou presque. Alors je me mets en grève. 

Et j’espère que cette grève va bien tous les embêter, parce que y’en a marre d’avoir… eh bien rien. Je veux bien former la marmaille, mais quand en plus elle devient membre officiel de l’équipe, je dis non. Alors oui, certains s’investissent. Il paraîtrait même que Deborah Chloé Parker a instauré un concours pour faire plus participer dans toutes les sections du château. Enfin ça, c’est ce qu’ils disent. On voit bien que nos bureaux sont délaissés et que c’est pour ça qu’elle veut du monde. Au moins, c’est que mon déguisement était bon : moi, j’y suis toujours dans les bureaux. Ce qui me permet de voir les fricotages entre Ellie Berry et Illisana River, par exemple, la dernière épilation de Xania et comment Florence Shawn cache à tout le monde ses problèmes de vue en mettant des « lentilles » (qui n’ont ni la forme, ni la couleur des lentilles que nous connaissons, soyons clair, encore un truc à la noix par les moldus et ramené par le molduphile Ignatus Prtachett). Alors oui, j’aurais de quoi faire de beaux articles avec ça, et du monde pour les lire et devenir une sorte de Gazettophile. Mais personne, hu ! Les propositions de noms de ce machin sont rares, et aussi originale que mes cure-dents. Espérons que dans les deux mois qui viennent, les lecteurs soient plus actifs !

Cela redonnerait peut-être un coup de fouet à l’équipe, d’ailleurs. Entre Blondie qui boit trop de tisane et Samuel qui se goinfre à côté, c’est mou mou mou. D’ailleurs, je me demande comment les Gazettes sortent encore, surtout après mon manque flagrant de participation. C’est étrange. Je me demande si Alexeievna n’a pas des esclaves dans sa cave. Elle manigance de plus en plus… tout le monde sait que le départ de Wilhemina a été entièrement orchestré par elle. Peut-être veut-elle se mettre William dans la poche ? Ou dans son lit. En tous cas, le nombre de départ devient accablant… on dit qu’un recrutement est proche, mais qu’il contiendrait uniquement des Serdaigle. Nora ne dit rien, on a vraiment l’impression qu’elle cache un truc, et que c’est ce truc. Du grand n’importe quoi. 

Du coup, j’hésite encore à donner ma démission. Il y a trop de choses mystérieuses à éclaircir, et j’aimerais a moins faire ça avant de partir, laisser ma place à des noobs. Alors pour le moment, je fais grève. Espérons qu’ils montrent un peu plus d’entrain, et je leur apprendrai les ficelles du métier pour le prochain recrutement, ou pour devenir un Gazettophile hors-pair. En attendant, je reste sur mes positions. Grève. 

La Gazette du Sorcier a réussi à se procurer un exemplaire du test que Deborah a fait passer aux Agents inquisitoriaux et au Chef des Aurors ce mois-ci. D'apparence innocente, personne ne doute cependant que la Legilimens en a tiré des conclusions très précises sur la personnalité de ses collègues.
Mais l'intérêt de ce questionnaire n'est pas seulement là. La Gazette vous propose de faire usage de votre brillant esprit, à peine embrumé par le soleil et les odeurs de crème solaire, pour retrouver qui correspond à quel symbole. Une fois la correspondance établie, envoyez un MP àAsphalte Fidelitas pour lui en faire part : le premier remportera 1 Gallion, le deuxième 9 Mornilles, le troisième2 Mornilles. Toute participation complète sera récompensée par 1 Mornille.

Mais ce n'est pas tout ! Afin d'éviter que votre esprit retourne dans un état second (celui des vacances) sitôt les symboles trouvés, vous pouvez également vous amuser àdénicher toutes les références aux projets existants de la Brigade qui se cachent dans le questionnaire (7 au total). Un projet existant est un projet déjà mis en place par la BI et accessible via les sections ouvertes à tous. Comme pour le premier exercice, envoyez un MP à Asphalte Fidelitas. Le plus rapide à avoir trouvé l'intégralité des références (c'est-à-dire à quoi elles correspondent) aura le privilège deconnaître en exclusivité les 7 autres référencescorrespondants à des projets futurs, le deuxième en connaîtra 5 et le troisième 3. En plus de cela, les nominés sur le podium recevront respectivement 15, 10 et 7 points de maison. Toute participation complète sera récompensée par 5 points de maison.

Vous pouvez envoyer vos deux participations dans deux MP différents ou bien dans un seul, voire même envoyer seulement l'une ou l'autre. Date limite : 25 août 2014. Enjoy ! 


Qui dit vacances dit, paradoxalement, plus de monde que jamais dans le Château. Face à ce phénomène, vous réagissez...

♠ Très bien. Maintenant que les P12iens sont en vacances, ils font le travail pour vous, et vous pouvez vous absenter.

♣ Très bien. Les P12iens sont désormais disponibles pour vous donner toutes les astuces imaginables (sur votre bac, pour être fin prêt l'an prochain, ou sur les séjours linguistiques, que vous expérimentez cet été, par exemple).

♥ Vous ne réagissez pas, vous croulez actuellement sous les MP parce que les vacanciers n'ont que ça à faire, vous en envoyer.

♦ Mal. Les vacances, vous trouvez ça beaucoup trop Moldu, et vous essayez tant bien que mal d'y remédier.

∞ Mal. Visiblement, certaines personnes croient que les vacances sont une autorisation pour laisser tomber leurs obligations, et ça ne vous arrange pas.


Mais les vacances, ce ne sont pas seulement les vacances des autres. Vos vacances à vous, en un mot, elles ressemblent à quoi ?

♥ Travail. Vous avez une réputation à tenir, ce n'est pas pour rien que vous avez tenté le poste suprême !

♠ Routine. Vous continuez sur votre lancée, proposant aux gens de donner leur avis ou de parler duels, entre deux séjours à la plage.

∞ ♣ ♦ Copines. Que seraient les vacances sans des moments passés ensemble et sans quelques photos pour graver ces souvenirs dans les mémoires ?

Moi, les vacances, ça m'évoque surtout les voyages. Alors dites-moi, dans votre valise, il y a... ?

♠ Un cahier de vacances. Le double de celui que vous avez laissé aux P12iens pour qu'ils s'occupent pendant votre absence tout en se rendant utiles.

♦ Des farces, des cadeaux et des lettres. Les créations des P12iens qui veulent rendre l'été un peu plus fun, comme vous.

∞ Des avis d'expulsion pour mauvais commerçants... de quoi laisser la place à des artistes qui ont du temps libre et de la motivation !

♣ Un vieux projet à rafraîchir sous un parasol. Tout à fait approprié puisque vous passez justement vos vacances à Cannes !

♥ Des autorisations d'inscription à Poudlard12 pour des sorciers atypiques, du genre qu'on n'a encore jamais vu dans le Château. Pas sûr que vous les compléterez, mais ça vaut le coup de les étudier.

Malheureusement, penser aux vacances, ça ne marche qu'un temps. Il est bien difficile d'oublier la rentrée. Cette année, que vous réserve début septembre ?

♠ Une séparation d'avec votre petite sœur.

♥ Un nouvel espace de travail, plus grand, mieux organisé, et un nouveau collègue.

∞ Une inspection, pour commencer l'année sur de bonnes bases.

♦ Une séparation d'avec votre grande sœur.

♣ Un retour en enfance.

Article de la BI, illustré par Chloé Yang

Quand on est en train de valider des chapitres et qu'on tombe sur un impeccable, avec aucune faute.



Quand on avait presque terminé de corriger un texte super long et qu'on remarque qu'en fait, une de nos collègues nous a devancé...



Le regard qu'on lance virtuellement à cette collègue avant d'entamer la correction du chapitre suivant.



Quand, enfin, on arrive à éliminer toute la pile des chapitres à corriger !



Quand on essaie de charmer les gens pour qu'ils participent à nos concours.



Quand tu lis un texte, y trouves des fautes et rale en maugréant que ça a été mal corrigé puis que tu remarques qu'en fait... c'est toi qui l'a validé.



Quand tu reçois plein de hiboux de gens différents d'un coup pour ajouter leurs critiques pour la brigade des comm's.



Quand un dramione arrive...



Quand le Slash/lemon va un peu loin...



Quand quelqu'un confond encore -é et -er...



Quand quelqu'un dit que la lecture ne l'intéresse pas.



Quand Emy arrive dans la place <3



Quand quelqu'un vous envoie une critique écrite presque en SMS... et qu'il s'amuse à faire une remarque sur l'orthographe de l'auteur.



Et quand Alexei comprend enfin qu'elle doit poster sur les topics de la biblio, pas seulement les lire.


 
Quand on ne comprend pas le lien entre la citation postée par un gens et l'explication qu'il a tenté de donner.


Quand un long chapitre bourré de fautes arrive.

  

Quand on fait le bilan de notre travail 


Quand Illisana se rend compte que la validation n'a pas été faite depuis longtemps.

Article gloussé et pondu par l'équipe de la bibliothèque et illustré par Avery. 

Lorsque l’on descend de son balai au-dessus d’un toit de Cracovie, on perçoit de vieilles maisons de pierres à perte de vue. Je parle bien entendu du vieux centre, parce que ces satanés moldus ont réussi à faire une banlieue immonde tout autour… Mais là n’est pas le sujet de cet article. Je vois, au loin, la colline de Wawel. Curieuse comme un botruc, je m’en vais voir cette colline mythique qui a abrité un gigantesque dragon. A cette époque-là, les réserves de Roumanie n’existaient pas encore, et les dragons voyageaient encore en toute liberté : pour leur plus grand bonheur, et le plus grand malheur des hommes (enfin, surtout des moldus).

Mangeant vaches, moutons, femmes et même enfants, le dragon terrorisait toute la région du Sud de la Pologne. Même les sorciers les plus courageux n’osaient pas s’en approcher. Ils durent faire appel à un simple moldu : Krak. Fougueux et cherchant la gloire, ce chevalier se mit en quête de trouver des hommes suffisamment fous pour le suivre. La bataille du matin ne dura pas toutefois. En rage d’avoir été réveillé, le dragon les lamina presque, brûlant et griffant tous les soldats qui tentaient de s’approcher de lui. Mais c’était sans compter à l’intelligence d’un simple moldu. Krak remplit une peau du plus beau bélier de la région de gros sel, salpêtre et souffre, et le recousit pour lui redonner la forme de l’animal. On sait tous à quel point les dragons peuvent être stupides quand il s’agit de se mettre quelque chose sous la dent. Ni une, ni deux, le dragon mordit à l’hameçon (pire qu’un strangulot si je puis dire). Le bélier rempli de salpêtre se mit à exploser dans sa bouche, y mettant le feu. Ne tenant plus, le dragon se dirigea vers la Vistule et but une quantité incroyable d’eau. Il en but tellement qu’il se noya de l’intérieur. La ville n’eut plus à s’en faire de ce dragon, et prit le nom du chevalier qui l’en avait sauvée : Krakow (ou Cracovie en français). Depuis lors, on peut se poser la question de savoir si les réserves de dragons en Roumanie n’ont pas vu le jour à cause de cette histoire…


Un peu plus loin, je vois le très haut édifice de la cathédrale Notre Dame. A quelques pas de là, se trouve un immense palais, celui de Christophe. Christophe était connu pour être un magicien et un alchimiste réputé et craint de son époque. En effet, les moldus qui habitaient les alentours ne pouvaient ignorer les nombreux cris de détresse et de torture qui provenaient des cachots du château. Cependant, la crainte n’empêchait pas la convoitise et nombreux furent les gens à entendre parler du trésor de Christophe : une immense quantité d’or se trouvait, soit disant, les souterrains du bâtiment. Cependant, une seule chose les retenait : le trésor serait surveillé par le diable en personne…

Un jour de pluie, une cuisinière devait tuait un coq pour finir de préparer son bouillon. Malheureusement, ou heureusement pour l’animal, ce dernier lui échappa des mains et s’enfuit dans les souterrains du palais. La cuisinière lui courut, naturellement après et se perdit dans les ténèbres, jusqu’au moment où une lumière jaillit et le coq réapparut devant elle. Toutefois, celui-ci n’était plus le même tout à fait : il portait deux cornes sur le front, à la manière d’un diable. En voyant la cuisinière, il ouvrit son bec et lui dit :

« Ne me tue pas, et tu verras, je te donnerai une partie du trésor de l’alchimiste Christophe. »

Hésitante, la cuisinière n’en crut d’abord pas ses oreilles. Il faut avouer que c’est toujours très difficile pour une moldue de se retrouver face à un coq qui vous parle la langue de vos ancêtres. Après un hochement de tête d’approbation de la part de la cuisinière, le coq poursuivit ainsi :

« Cependant, pour recevoir l’or de tes rêves, il faudra que tu retournes à la surface, sans jamais regarder en arrière. Sans quoi, l’or disparaitra. »

Doucement, mais sûrement la cuisinière commença à remonter à la surface, les poches de son tablier remplis d’or, suivant la lumière qui se trouvait devant elle pour lui montrer le chemin à suivre. Alors qu’elle allait monter la dernière marche, la curiosité reprit ses droits et elle se retourna. La porte se referma devant son nez avec fracas, lui faisant perdre l’équilibre dans les escaliers, tandis que l’or qui se trouvait dans ses poches se métamorphosa en poussière.

Depuis lors, les souterrains du palais se sont quelque peu effondrés, mais personne ne sait encore si le coq-diable et le trésor du magicien sont encore là. Serez-vous celui ou celle qui aura l’audace de s’y rendre pour quelques piécettes d’or ?


Plus loin, je vois aux abords d’un restaurant des gens en train de déjeuner. Les assiettes sont remplies comme il se doit, tandis que trônent sur un petit support le sel et le poivre. Une anecdote me vînt en tête, car au début, il n’y avait pas de sel en Pologne. Au moment des noces du Prince Boleslas le Honteux, qui voulait se marier avec la princesse Cunégonde de Hongrie, cette dernière ne voulait pas que son père offre en cadeau de mariage de l’or ou des bijoux. Elle voulait plutôt quelque chose d’utile à la Pologne : du sel.

Son père, aimant sa fille comme la prunelle de ses yeux, accepta sa requête et la conduisit jusqu’à la mine de sel en Hongrie. Un souci préoccupa toutefois la jeune princesse : comment transporter le sel en quantité suffisante jusqu’en Pologne ? Maligne, la demoiselle jeta sa bague dans la mine de sel et fit cette prière :

« Que ce sel puisse m’accompagner jusqu’en Pologne ! »

Nous ne sommes pas dupes à notre époque et savons pertinemment qu’il s’agissait là d’un simple sortilège de déplacement du sel. Cependant, cela marcha à merveille, puisqu’une fois en Pologne, elle demanda à deux hommes de creuser la terre à Wieliczka. Au bout de quelques minutes de travail, ils sortirent un énorme bloc de sel, où se trouvait à l’intérieur la bague de la princesse. Depuis lors, ni la Pologne, ni la Hongrie ne manquent de sel.


Et pour ma part, il est grand temps de découvrir l’une des plus belle magie de la Pologne : sa vodka !

Les vacances, l'occasion rêvée pour tout fonctionnaire - ou étudiant - de s'échapper un instant de sa vie stressante et compliquée. Les vacances, l'heure du grand départ pour aller se poser et se reposer et surtout s'éloigner du travail. Mais où partir quand on a de l'argent (ou pas) ?

• En pays étranger. Difficile à mettre sur pied et coûteux, sauf si vous désirez aller en Belgique, le pays étranger vous permet un dépaysement total. Que vous préfériez la chaleur des plages espagnoles à l'attrait touristique du Portugal, vous êtes surs et certains de ne pas croiser votre patron au détour d'un couloir d'hôtel. Il y a cependant quelques petits inconvénients : la difficulté de vous faire comprendre par les locaux si vous ne parlez pas la langue du pays, la nourriture pas toujours aux goûts de tous et, bien sur, l'effroyable tourista.

• A la mer. Si vous aimez vous enduire de crème solaire et réchauffer votre corps sous les agressifsdoux rayons du soleil, la plage est faite pour vous. Si vous préférez plutôt les expéditions sous-marine pour observer les poissons ou les balades en bateau ou même que vous adorez vous baigner dans de l'eau salée, cette destination de vacance peut concilier vos rêves les plus fous. Pratique pour les familles dont les goûts ne s'accordent pas nécessairement, il faut cependant ne pas s'énerver tout de suite. En effet, entre le rythme lent des habitants du sud, le sable qui colle partout et les coups de soleil, il faut savoir prendre sur soi.

• A la montagne. Le principe en hiver est sympathique, il y a de la neige, des sports de glisse et, surtout, on peut s'envoyer une tartiflette de derrière les fagots en prétextant devoir se réchauffer du froid glacial. En été, l'attrait devient plus compliqué. Il y en a bien entendu pour les marcheurs qui adorent profiter du bon air pur et s'extasier devant le paysage, mais tout le monde n'est pas comme ça. Si vous ne faites cependant pas partie de cette catégorie, n'oubliez pas de prendre avec vous une montagne de Sparadraps et, surtout, beaucoup de livres. Il vous seront utiles durant 90% du séjour.

• A la campagne. Simple et pas cher, partir s'enterrer au fin fond de la campagne française, c'est tout ce qu'il y a de plus calme et reposant. Vous pouvez profiter des quelques promenades aux alentours, manger des plats rustiques qui font toujours plaisir et reposer votre esprit au calme. Vous pouvez vous rapprocher de la nature et ce n'est pas dans votre jardin de ville que vous profiterez du silence. Il faut cependant savoir que le silence n'existe pas même à la campagne ! Car les champs de ferme, c'est bien, mais il y a aussi les animaux. A moins que vous n'aimiez vous réveiller aux aurores avec le chant du coq et sentir tous les matins une bonne odeur de fumier, nous vous conseillons fortement d'amener avec vous des boules quies et un pince-nez.

• Rester chez soi. Aux grands maux, les grands remèdes ! Si aucune des destinations précédentes ne vous a plu, il reste bien évidemment la possibilité de rester chez vous. Vous êtes au moins surs que tout le monde vous comprend et vous allez enfin pouvoir profiter de cette nouvelle télévision. Un risque cependant, croiser vos collègues ou votre patron au supermarché du coin. Vous ne serez pas trop dépaysé et peut-être même mieux détendu à votre retour de vacances que vos amis.

Les vacances, chacun les vit comme il le pense. Que vous partiez loin ou que vous restiez chez vous, que votre activité soit intense ou plutôt farniente, c'est comme vous les aimez que vous devez les passer. Réfléchissez donc à ce que vous préférez et profitez du mois qu'il vous reste à glander.

8 juillet 2014. 18h37. Un bureau sombre côtoyant le stade de Quidditch.

Un peu anxieuse par la rencontre qui allait se dérouler, j’avais pris de multiples précautions, un peu trop même. Non seulement j’avais vérifié maintes fois le calendrier lunaire pour choisir ma date de rendez-vous, mais j’étais également dotée de nombreuses protections, réelles ou supposées, me basant autant sur les récits et textes scientifiques sur la lycanthropie que les croyances de ma grand-mère à ce sujet. C’est ainsi que je rejoignis le stade de Quidditch, parfumée d’ail, un crucifix autour du cou et un poignard d’argent habilement caché dans la manche, risquant probablement de me blesser en premier, avant qui que ce soit d’autre. Malgré tout mon attirail, j’étais encore nerveuse et un peu nauséeuse de ce que j’allais faire. Mais l’odeur d’ail persistante, picotant mes narines n’était peut-être pas sans incidence sur la réaction de mon estomac. C’était donc avec une main tremblante que je frappais à la porte du bureau, m’attendant presque à un grognement animal en réponse. C’était donc avec surprise que j’entendis une voix des plus humaines me priant d’entrer.

Le bureau était plongé dans la pénombre, offrant un aspect assez inquiétant et une ambiance à faire froid dans le dos. Le visage du sujet de mon article, à moitié caché dans l’obscurité, lui donnait un air de mafioso jugeant son interlocuteur avant de prendre la parole. Pour un peu, je m’attendais presque à voir s’élever un filet de fumée d’un cigare et une voix rauque me parler. Mais la politesse exigea que je la salue d’abord.

- Nora Bailyn : Euh….Bonsoir Mrs Poivre. Au nom de toute la rédaction de la Gazette du Sorcier, je vous remercie pour le temps que vous avez bien voulu nous consacrer pour cette interview.

M’attendant à une réponse ou au moins un feulement sauvage, agressif, me montrant des dents pointues, signal que malgré l’invitation, je fus à nouveau surprise une voix « normale » et finalement tellement humaine que je me demandais si l’info que j’avais reçue était bien réelle, peut-être que l’arbitre n’était pas du tout lycanthrope mais avait juste développé une maladie étrange qui donnait des poils.

- N.B. : Bien, hem… nous allons commencer. Depuis combien de temps êtes-vous un loup-garou ?

- Eugènie Poivre : C'est très récent je dois dire. Depuis que je suis employée comme Arbitre ici même donc quelques mois seulement.

- N.B. : Racontez-nous un peu comment cela s’est produit, voulez-vous ?

- E.P. : Bon, je crois que j'ai été très imprudente sur ce coup là. Une ballade dans la forêt interdite m'a confirmé que je pouvais avoir la tête dans les étoiles. Il a suffi d'une inattention et... je me suis fait mordre. Par un Loup-Garou de Poudlard.

Je sursaute en entendant cette révélation et je sentis la question venir jusqu’au bord des lèvres : « qui à Poudlard ? » mais tenue par un principe de déontologie absurde, je me retiens, tout en me promettant d’investiguer un peu plus sur la question. Je me force donc à poursuivre avec ma liste de questions prévues.

- N.B. : Quel a été votre première pensée en prenant conscience de ce que vous êtes devenue ?

- E.P. : Je crois que je me suis sentie extrêmement faible. Mon avenir se trouvant soudainement compromis. Sérieusement, qui voudrait côtoyer une personne atteinte de lycanthropie ? Le sentiment d'abandon m'a alors submergée. Me disant que lorsque les gens commenceraient à savoir, je me retrouverai toute seule.

A nouveau, j’ai envie de demander ce qu’il en serait de sa romance avec la propriétaire des Trois-Balais connue de tous mais je pense que ce serait peut-être un peu déplacé. Je me mords donc la lèvre, réfrénant ma curiosité avant de continuer.

- N.B. : Comment sentez-vous le regard des autres depuis votre transformation ?

- E.P. : Justement... Ça diverge un peu. Je crois avoir raison en disant que les gens ne sont pas rassurés en se retrouvant en ma présence. Mais il s'agit d'une appréhension de leur part. Et je dois remercier Hevi Shawn qui m'a finalement fait comprendre que j'étais toujours la même. Plus ou moins. J'ai repris peu à peu confiance en moi depuis. Mais... Les gens doivent savoir que la lycanthropie n'est qu'une partie de moi.

 Ah bon ? Hevi Shawn a accepté sa condition ? On devrait faire un article sur les tendances zoophiles de certains membres du personnel...

- N.B. : Est-ce que ce changement chez vous va avoir un impact sur votre poste d’arbitre ? Continuerez-vous à travailler normalement ?

- E.P. : Non. De ce côté là il n'y a pas vraiment de changement. Je deviens juste... agressive les jours entourant la pleine lune. Donc j'éviterai juste de me frotter aux entraînements et matchs ces jours-ci. Et quant aux jours de pleine lune. Je ne travaillerai tout simplement pas.

- N.B. : Est-ce que les loups-garous ont leur propre équipe de Quiddich ?

- E.P. : Oh non. Mais j'aimerai bien. Ça pourrait être sympa comme concept- N.B. : Concrètement, à la pleine lune, que faites-vous ? Vous restez à Poudlard ? Ou vous jouez au Monopoly avec d’autres potes lycanthropes ?

- E.P. : J'aime beaucoup le Monopoly... mais oui je reste à Poudlard. Ou dans les environs. Il m'arrive de passer les nuits de pleine lune avec d'autres lycanthropes. Rassurant n'est ce pas ?

- N.B. : Avez-vous remarqué une tendance à manger votre viande plus saignante depuis votre transformation ?

- E.P. : Légèrement. Mais ce n'est qu'un détail. On apprend à vivre avec. Et c'est une habitude à prendre.

- N.B. : Etes-vous plutôt thé ou café ?

- E.P. : Café. Mais pas n'importe quel café. Je préfère par dessus tout le café que peut me faire Hevi.

- N.B. : Question pilosité, vous assumez votre fourrure ? Conseillerez-vous aux sorcières actuelles de suivre la tendance « je laisse mes poils et j’en suis fière » ?

- E.P. : Si la fourrure est là c'est bien pour une raison non ? Alors oui, la mode est aux poils cette année. Personnellement ça ne me dérange pas trop.

- N.B. : Un dernier mot pour la fin ?

- E.P. : Un conseil : Si vous voyez une boîte de Monopoly, courrez. Vite et très loin.

Vous devez l’avoir remarqué, chaque section invite le meilleur élément qui s’est démarqué pendant une coupe de rejoindre le groupe prestigieux au nom charmant de : « club de Slug ».

Ce club existait déjà autrefois, et servait à réunir les élèves prometteurs, bons élèves, mais aussi les élèves influents, avec un soupçon de brillant avenir ou un grand oncle célèbre, assurant ainsi de rejoindre les meilleurs avec la reconnaissance du bon vieux professeur Slughorn.

Ce club n’a pas beaucoup changé en réalité. Basé sur les mêmes principes d’élitisme, il vous oblige à vous donner le meilleur de vous même pendant une coupe entière afin d’espérer rejoindre les plus grands pédouziens. Seront réunis ainsi les plus actifs et ceux qui se démarquent du commun des mortels. Mais pour quel résultat finalement ? Approximativement 50 points de maison et 1 Gallion, avec quelques nuances selon votre méthode pour entrer dans le club. Oui mais encore ?

Une réunion entre grands pédouziens sera possible. Vous papoterez alors autour d’un verre comme n’importe qui ferait avec une bande d’amis aux Trois Balais, mais la différence est que le club se réunira dans un lieu secret inaccessible, vous parlerez des mêmes choses, mais parce que vous êtes un petit groupe et vous êtes réunis secrètement, la communauté entière de  notre château vous verra comme l’élite de P12.

Pourtant le club de Slug d’antan promettait nourriture raffinée et boissons d’un autre niveau. Ne rêvez pas pour le club actuel. Alors qu’auparavant les meilleurs élèves étaient réunis dans une salle confortable de Poudlard en compagnie d’un professeur émérite, avec friandises et ananas confit, ici votre situation sera tout à fait différente. Vous finirez avec la concierge et votre seul repas consistera en des morceaux de fromage. Alors toujours envie de rejoindre le club de Slug ?

Certains diront que ce n’est pas la nourriture qui compte mais la réunion avec les plus actifs et les membres les plus éminents de P12, travaillant ensemble, avec éventuellement la possibilité d’y laisser un CV ou de discuter d’une idée d’animation au passage que les membres du personnel accueilleront à bras ouverts car comme dans toutes les sections, la source d’inspiration se tarit et le personnel de Poudlard est prêt à tout pour trouver de nouvelles idées, comme ouvrir un club pour donner le travail de recherches à ses membres.

En conclusion, vous devez être actif pour y entrer et vous devrez être actif une fois que vous y serez. Vous ne mangerez pas bien et vous allez regretter le pichet de jus de citrouille quand Deborah Chloé Parker vous fera boire son smoothie fraise-camembert, sa boisson favorite. J'appelle donc les autres, tous ceux qui ne seront pas choisis parmi les meilleurs, de vous montrer actifs pour ensuite se réunir aux Trois-Balais pour papoter et boire une bièraubeurre tout en riant ensemble de la pauvre élite de P12 cachée dans la conciergerie débattant de l'avenir du château, en sachant que peu importe ce qui sera décidé, nous on continuera d'être là, club de Slug ou pas !

Peu importe la période de l’année à laquelle nous nous trouvons, il arrive qu’on ait tous envie de craquer lorsque les mots « bonbon », « sucrerie », ou tous ceux qui évoquent le bon et le sucré parviennent à nos oreilles ou qu’ils apparaissent à nos petits yeux. Et chacun a ses préférences en la matière ! 

Mais on peut dire que l’été, il y a des incontournables à côté desquels on ne peut passer en ce qui concerne les sucreries, et plus particulièrement si l’on fait un petit saut chez les moldus. Avec la chaleur, on a des envies rafraîchissantes et ce qui est chaud ne nous attire pas plus que les sous-vêtements sales des Serpentards. De même, on a envie de changer un peu les goûts et de pouvoir avoir quelque chose de nouveau à se mettre sous la dent. Alors, qu’ont bien pu trouver nos moldus pour cet été qui pourrait nous mettre l’eau à la bouche ? Notre équipe a testé pour vous tout ce que l'on peut trouver, et vous dit tout !

Vous savez tous que le meilleur moyen de se rafraîchir pendant l’été est de se calfeutrer dans une cave à l’abri du soleil. Mais au bout d’un moment, on commence tout de même à avoir faim. La première sucrerie incontournable est donc la glace, qui est la meilleure manière de prendre plaisir à manger du sucre et surtout quelque chose de frais ! Et les moldus sont forts pour trouver tous les goûts possibles qui vous feraient rêver. Pour cette première sucrerie, c'est Florence qui s'y est collée ! Après que nous l'ayons convaincue qu'elle ne prendrait pas beaucoup de kilos (mais qu'elle en prendrait quand même) parce que la chaleur ferait tout fondre, elle a commencé par tester la glace au chocolat en se jetant littéralement dessus, à la suite de quoi elle a fait un indigestion. Mais c'est tout fraîche qu'elle a pu goûter le reste, en y allant plus doucement et avec des fruits, ou un peu moins de consistance. Mais c'est elle qui a eu le pactole, sachant que l'on trouve des glaces pour tous les goûts : amateurs de chocolat, de fruits, de mélanges en tout genre, elles sont faites pour vous ! En forme de cône, en bâtonnets, en tube, sous forme de petites billes, en pots, ou comme vous le voudrez, vous pourrez en manger partout où vous vous trouver. Enfin sauf si vous êtes à côté d’un feu ou d’un radiateur (ce qui a peu de chance de vous arriver sauf si vous habitez au pôle nord, ce qui m’étonnerait beaucoup...). Autrement, en sorbet, à l’eau, ou en cornet, la glace sera votre meilleur atout cet été ! 

Notre chère Xania a décidé également de montrer de quoi elle était capable, en voulant tester un bonbon qui rime avec son nom : le Ricola, qui n'est autre qu'un bonbon à base de plante. Impatiente, elle s'attendait à voir un bonbon moelleux qui fondrait dans sa bouche et qui pourrait lu procurer quelques bonnes sensations. Malheureusement pour elle, il s'agissait d'un bonbon ovale et tout dur qui lui rappelait certainement son bambou et qu'il faut sucer longuement dans sa bouche. Mais finalement, cette idée lui plut, et elle en mis directement deux dans sa bouche, sous mon rire, car cela me rappelait la fois où j'avais voulu essayé d'en manger chez une grand-mère moldue, et que je m'étais étouffée avec. Bref, pour éviter que Xania fasse la même chose que moi, nous lui avons conseillé de garder la bouche bien fermée, de ne pas parler ni de faire aucun geste qui pourrait provoquer un léger accident, jusqu'à ce que le bonbon ait finit de se dissoudre dans sa bouche. Après avoir eut en bouche le goût menthe, elle voulut essayer quelques autres parfums, comme le réglisse qui lui donna la langue un peu noirâtre, la fleur de sureau, l'eucalyptus, l'argousier qui lui fit tirer une jolie grimace, la sauge, les herbes et le miel, ou encore la cranberry, autrement dit la canneberge en français. Au final, notre plus vieille rédactrice en a conclu qu'il n'y avait que des goûts de grand-mère, et qu'elle doutait fort que ce bonbon fasse l'unanimité. A part peut-être à la menthe et à l'eucalyptus. Les moldus ont décidément de drôles de goûts... 

Ce fut ensuite le tour de William, à qui on a conseillé de goûter les pastilles de menthe, qui pourraient être un remède à sa prétendue haleine de chacal. Enfin je n'ai jamais eu l'occasion de m'approcher trop près de sa bouche, de peur de m'attirer les foudres de l'un de mes collègues qui ne le verrait pas d'un très bon œil. Les joues légèrement rosies, peut-être parce que cette rumeur sur son haleine était vraie, il plaça doucement une pastille dans sa bouche, et nous regarda alors qu'il la sentait fondre sous sa langue. Ça ne parut pas lui déplaire, puisqu'il nous adressa un grand sourire en levant le pouce. M'enfin, c'est William, alors on ne peut pas trop savoir ce qu'il en est vraiment, je crois. Toujours est-il qu'il a ensuite soufflé sur sa main puis sentit l'odeur qui était sortie de sa bouche, et quitta la salle de rédaction sans nous dire où il allait. Je l'ai vu par la suite en train d'amadouer une fille de Serdaigle pour qui il s'intéressait vivement. Ces pastilles sont peut-être efficace pour une haleine fraîche, en fin de compte. 

Mais comme tout le monde devait passer à la casserole, je me suis lancée à mon tour (Blondie). Parmi ce qu'il restait sur la table de test, il y avait une sucrerie qui ressemblait à un gros gâteau gélatineux. Ma curiosité étant ici à son comble, je me suis dit que ce serait le bonbon parfait à essayer. Même si ça n'en avait pas trop l'aspect, vu la taille et la composition. Le bonbon en question avait un aspect rose gélatineux, un peu comme le flan. Sauf que cette fois-ci, il était un peu translucide. Qu'y avait-il dedans ? Je n'en avais aucune idée. Florence, toujours en train de lécher ardemment une glace à la passion, pouffa lorsque je me saisis d'une cuillère pour piocher dans la gélatine. La cuillère en bouche, je sentis le rouge me monter au joue, et la chaleur m'envahir. Pour l'aspect fraîcheur, on repassera, mais si vous êtes adeptes des goûts forts, cette gelée au piment vous ravirait. Merci à Lexei pour s'être trompée dans les commandes en cuisine, suite aux demandes de notre bon Pratchett. Mais je peux vous assurer que la suivante que j'ai goûtée, qui était à la framboise, était bien meilleure et fruitée comparée à la précédente. Toutefois, vérifiez bien quel parfum vous avez devant vous avant de vous jeter dessus ! 

La sucrerie qui a attiré le plus la curiosité de l'équipe est sans aucun doute le chewing-gum, ou ce qu'on peut appeler pâte à mâcher. Le plus gourmet de la bande, qui est sans nul doute Samuel a été impressionné lorsqu'on lui a dit que c'était un bon que l'on pouvait mâcher sans qu'il ne s'épuise. L'appel de son ventre a donc été le plus fort, et il a par la suite essayé de faire des bulles avec. Je dois vous dire qu'il y a eu beaucoup de ratés, et il a finit avec la figure pleine de chewing-gum qui lui avait explosé au visage. Il a provoqué Lexei qui se moquait de lui en lui disant qu'elle n'y arriverait pas mieux parce qu'elle était à Serdaigle. Notre ReC n'a pas baissé les bras et a relevé le défi afin de prouver que les Serdaigle étaient toujours les meilleurs... Pour finir comme notre Poufsouffle préféré, la figure collante et toute rose. Alors, les Serdaigle sont-ils vraiment les meilleurs pour tout ? Pas quand il est question de nourriture moldue, apparemment ! Le résultat en ce qui concerne la manière de manger cette sucrerie reste donc un échec pour nos deux compatriotes. Mais ils pourront vous confirmer que c'est quand même bon si vous prenez à la menthe, notamment de la marque Airwaves, douce ou forte à vous arrachez les mâchoires, vous ne serez point déçus, c'est sûr et certain. 

Il paraît que l'équipe de la Gazette n'est pas toujours si chaste que ça. Vous a-t-on déjà qu'Avery aimait bien les petites choses rondes qui ont un bon goût et que l'on garde bien au chaud dans la bouche à suçoter ? On ne dirait pas, sous ses petits airs respirant la jeunesse et l'innocence, mais la petite Gryffondor passionnée de Botanique vous cache des choses, je vous le dis ! Maintenant, vous êtes au courant, c'est déjà ça. En tout cas, elle a craqué pour les petits bonbons verts et oranges, de manière générale, qui se déclinent selon les envies. A la différences, ceux-ci peuvent être croqués facilement et libèrent un goût fruités et sucré qui vous rappellent bien évidemment l'été. On a d'ailleurs eu du mal à faire arrêter Avery de les manger, car elle vidait tous les paquets... Petits mais addictifs, ils sont pratiques à transporter pour nos amis moldus, et sont utiles pour les gourmands qui voudraient pouvoir manger un peu de sucre sans trop en abuser ! Enfin sauf si vous êtes comme Avery et que vous gardez plusieurs paquets avec vous et que vous rechargez régulièrement. Il faudrait penser à faire un peu de ménage dans les bureaux, car elle en laisse traîner jusque sur mon bureau. Ah !

Je viens même vous confirmer ce que j'ai dit précédemment avec l'expérience de Wilhemina, qui a fait la tête après s'être ramassé les bonbons blancs à l'anis et à la menthe. Mais en fait, ce n'était qu'une mascarade puisqu'elle n'a pu cacher son ravissement bien longtemps. Une fois la petite boule blanche en bouche, elle n'a su résister à la tentation d'en reprendre une. C'est aussi très bon pour l'haleine, nous dit-elle. J'espère qu'elle ne fera pas comme William, et qu'elle ne ramènera pas trop de Serpentard en Salle de rédaction, sinon on ne pourra jamais sortir les prochaines Gazette dans les temps si elle en passe trop à batifoler. Nora a aussi sauté sur l'occasion, nous confiant qu'elle n'avait jamais rien mangé d'aussi bon. Je ne suis pas certaine qu'on peut la croire. Si ça se trouve, elle disait juste ça pour empoisonner le prochain qui en mangerait, qui ne serait pas un Serpentard immunisé, comme l'est probablement Mina. 

Enfin, Ignatus, en parfait connaisseur de ces choses moldues, a fermé la séance de dégustation. Mais il ne nous a pas présenté une sucrerie rafraîchissante, bien au contraire ! Lui qui n'aime pas suivre la marche et qui trouvait qu'il ne faisait pas si chaud que ça dans nos bureaux, a préféré prendre son pied en mangeant du chocolat devant nous. Ou du moins il a fait aussi son gourmand en nous faisant passer sous le nez des oursons en guimauve enrobés de chocolat au lait, qui font tant fureur chez les non sorciers. Puis il nous a finalement laissées entre filles débarrasser pendant que lui s'en allait rejoindre William. 

C'est ainsi que nous avons pu vous donner notre avis bien subjectif sur ces merveilleuses sucreries moldues qui apporteront peut-être un peu de fraîcheur ou de nouveauté dans votre été ! Alors, vous laisserez-vous tenter ou certains ont-ils réussi à vous dissuader ?