Grâce au concours de lettre au Père-Noël, une heureuse élue, à savoir la petite Maïwenn, quatorze ans dans la vraie vie, pas plus de cinq dans sa tête, a pu faire une rencontre magique avec le Père-Noël. Celui-ci, ne se sentant pas de faire une rencontre privée, est venu directement aux Trois-Balais. Sauf qu’au mois de février… il n’y en avait qu’une de réjouie. Qui lui a donc gentiment offert un verre, et a même proposé de saouler ses rennes.

 Santa : J'aurais bien amené mes rennes, mais on ne les prend pas dans les TB... 
 Maï : Dommage, je suis sure qu'ils auraient adorés la bierraubeurre.

Cinq ans, donc, mais pas si innocente que ça, la jeune fille. 

Cependant, la rédaction (oui, je parle au nom de tout le monde même si j’étais toute seule devant le couple plus ou moins étrange) fut agréablement surprise de voir que la magie survivait. En effet, si le Père-Noël, aussi vieux qu’il était, avait bien reçu la lettre de la jeune fille, ses cadeaux avaient été préparés bien avant et puis… une fois lue, il fallait bien dire qu’il ne se souvenait pas vraiment de quoi il s’agissait. De toute façon, avec toutes ces mômes qui veulent des amoureux, des licornes ou autres bêtises du genre... Mais elle avait apprécié quand même.

 Santa : Alors, es-tu contente de ce que je t'ai apporté, cette année ? 
 Maï : Oui, très 

OUI, LA VERITE SORT DE LA BOUCHE DES ENFANTS. Surtout quand en vrai, c’est moi qui lui ai fait cadeau de fringues avec l’histoire de cadeaux de Noël entre pédouziens qu’avait organisé Snaïla. Nous allons donc tous la croire.

Et si le Père-Noël n’était pas vraiment le Père-Noël, la jeune fille était bien une jeune fille des plus ravies, à notre plus grand plaisir. Car des fois, il n’en faut pas beaucoup pour faire revivre l’âme de Noël. Une petite lettre, quelques cadeaux virtuels, une pseudo-rencontre, et un sourire sur un visage. 

Presque aussi niais que la St-Valentin qui arrive !