[Battle des Maisons] Quand Salazar mange du Lion
Par Xania le 1 oct. 2014, - Edition n°108 - Lien permanent
Au fin fond de leur cave, les Serpents regardent
et admirent la fougue du désespoir en train de s'emparer de chaque
élève de Gryffondor. A l'heure où cet article est écrit, tout le monde
profite d'un bon petit déjeuner, fait de céréales Lions et de lait
chaud. De quoi satisfaire tout estomac de Serpentard, en pensant à la
manière dont les Lions vont se faire manger.
En cette fin de Coupe, les Serpentard jouissent
d'une chose : les Gryffondor sont en train de perdre. Oh, il ne s'agit
pas seulement du fait de perdre tout bêtement, mais de perdre par pure
stupidité. En effet, ceci n'est pas la faute des élèves qui composent la
population de cette maison, mais de leur emblème tout simplement. Ils
n'y peuvent rien s'ils sont ainsi, c'est la vie.
Cela provient, tout d'abord, du fait que les Gryffondor n'ont pas compris la différence entre le courage et la témérité ou encore la hardiesse. La témérité, c'est cette capacité qu'ont les gens, et surtout les Lions, de se jeter pêle-mêle dans la bataille, sans prendre en compte les risque auxquels ils s'exposent. C'est ainsi que nous pouvons citer le fabuleux exploit de Harry Potter qui, au moment de partir sauver son parrain Sirius Black, ne fit que se jeter dans un piège savamment préparé par l'ennemi et condamna par la même occasion la personne qu'il aurait dû sauver : Ceci est de la témérité. La hardiesse, quant à elle, est cette faculté qui pousse les Lions à affronter des ennemis face auxquels ils savent qu'ils ne feront pas le poids : c'est le courage du chevalier, qui, partit pour sauver sa belle, sait qu'il n'en reviendra pas indemne. Tel est le cas, par exemple toujours, de Harry Potter qui décida au cours de seconde année d'affronter un Basilic, un serpent géant, pour aller y sauver la petite soeur de son meilleur ami. Bel acte de hardiesse, mais heureusement que Fumseck et le Choixpeau Magique étaient présents pour l'aider dans la bataille, parce que sinon, le dernier espoir de l'Ordre du Phénix n'aurait pas fait long feu.
De ce fait, il est simple de comprendre pourquoi les Lions deviennent une espèce en voie d'extinction, mais aussi pourquoi ceux de Poudlard le sont tout particulièrement. A force de se jeter à corps perdu dans des batailles qu'ils ne peuvent gagner, ils se retrouvent pieds et poings liés :
Cela provient, tout d'abord, du fait que les Gryffondor n'ont pas compris la différence entre le courage et la témérité ou encore la hardiesse. La témérité, c'est cette capacité qu'ont les gens, et surtout les Lions, de se jeter pêle-mêle dans la bataille, sans prendre en compte les risque auxquels ils s'exposent. C'est ainsi que nous pouvons citer le fabuleux exploit de Harry Potter qui, au moment de partir sauver son parrain Sirius Black, ne fit que se jeter dans un piège savamment préparé par l'ennemi et condamna par la même occasion la personne qu'il aurait dû sauver : Ceci est de la témérité. La hardiesse, quant à elle, est cette faculté qui pousse les Lions à affronter des ennemis face auxquels ils savent qu'ils ne feront pas le poids : c'est le courage du chevalier, qui, partit pour sauver sa belle, sait qu'il n'en reviendra pas indemne. Tel est le cas, par exemple toujours, de Harry Potter qui décida au cours de seconde année d'affronter un Basilic, un serpent géant, pour aller y sauver la petite soeur de son meilleur ami. Bel acte de hardiesse, mais heureusement que Fumseck et le Choixpeau Magique étaient présents pour l'aider dans la bataille, parce que sinon, le dernier espoir de l'Ordre du Phénix n'aurait pas fait long feu.
De ce fait, il est simple de comprendre pourquoi les Lions deviennent une espèce en voie d'extinction, mais aussi pourquoi ceux de Poudlard le sont tout particulièrement. A force de se jeter à corps perdu dans des batailles qu'ils ne peuvent gagner, ils se retrouvent pieds et poings liés :
Enfin, dernière petite chose que les Serpents
aiment regarder, ce sont les affrotnements des Lions entre membres de
cette même maison. Dumbledore disait savamment : "Il faut beaucoup de bravoure pour faire face à ses ennemis mais il n'en faut pas moins pour affronter ses amis.".
Et après on ose dire que les Serpentard sont fourbes et vicieux ? Nous,
messieurs et mesdames, ne nous lançons pas des pierres entre nous. De
la sorte, les Gryffondor ont bien compris le message. Confondant courage
avec témérité, ils n'hésitent plus à faire de grands sacrifices pour
atteindre leur but. Cependant, le revers de la médaille est tel, qu'ils
se retrouvent, à ce jour, trop peu nombreux pour faire face à tous leurs
concurrents. Ils s'oublient tellement dans leur petite querelle, qu'ils
ne voient plus ce qui se passe devant leurs yeux. Et l'histoire montre
un exemple très flagrant de cette "bravoure face à ses amis" : Peter
Pettigrow. Il est certain qu'il lui en aura fallu de la bravoure pour se
détourner de ses amis James et Lily Potter et les vendre à
Vous-Savez-Qui, afin que ce dernier puisse les tuer eux et leur bébé.
Maintenant, vous la connaissez la vérité. Le courage chez les Gryffondor n'en est pas, mais c'est simplement de la témérité et de la hardiesse mal placées. Il n’y a qu’à penser à Harry Potter pour le constater. Quant au fait de lutter contre ses propres amis, je pense que nous l'avons très bien vu avec l'exemple de Pettigrow. Dans tous les cas, si on vous dit un jour de vous méfier du Serpent qui se cache, nous vous conseillons plutôt de vous méfier du Lion qui dort. Car, le Lion, vous pouvez le voir venir de loin, donc, vous pouvez vous en méfier, alors que le Serpent, vous ne le verrez jamais avant qu'il ne bondisse de sa cachette. Vous ne pouvez vous méfier de ce qui vous est invisible.
Maintenant, vous la connaissez la vérité. Le courage chez les Gryffondor n'en est pas, mais c'est simplement de la témérité et de la hardiesse mal placées. Il n’y a qu’à penser à Harry Potter pour le constater. Quant au fait de lutter contre ses propres amis, je pense que nous l'avons très bien vu avec l'exemple de Pettigrow. Dans tous les cas, si on vous dit un jour de vous méfier du Serpent qui se cache, nous vous conseillons plutôt de vous méfier du Lion qui dort. Car, le Lion, vous pouvez le voir venir de loin, donc, vous pouvez vous en méfier, alors que le Serpent, vous ne le verrez jamais avant qu'il ne bondisse de sa cachette. Vous ne pouvez vous méfier de ce qui vous est invisible.
Article écrit par Serpentard, et illustré par Sheila Brooks.
Commentaires
Ahaha. J'ai hâte de m'atteler à la réponse de cette lettre ! (a)
Je l'avais déjà lu en salle co ! Excellent de ressortir les dossiers ahah !
J'ai ri devant la photo. Je ris toujours, en fait.