La Gazette du Sorcier - Edition Poudlard12

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1 sept. 2023

10 raisons d'arrêter de faire des listes

 

Oui, je vous ai embêté avec des listes tout l'été, et apparemment ce n'est pas terminé. Mais avouez que les listes ont quelques côtés bien plus embêtants... Au moins 10, je dirais !

1- Il ne faut pas la perdre.
Il ne faut pas mettre tout les crabes dans le même panier. Il ne faut pas non plus mettre toutes ces idées miraculeuses sur le même papier. On a vite fini de la perdre, et dans ce cas, on est bien embêtés. Obligés de tout recommencer ! Voilà pourquoi j'opte plutôt pour l'option chasse au trésor. C'est super drôle. Ça consiste à écrire chaque élément sur un papier différent, pour les cacher dans pleins de pièces de l'endroit où l'on vit ! Et au pire, si on en perd une, on s'en remettra !

2- Il faut y avoir des choses pertinentes à dire.
C'est sûr qu'on peut faire une liste des animaux qu'on connait par exemple. Ça peut faire une liste hyper longue, je vous préviens. Fléreur, Sinitros, Niffleur, Salamandre, Sombral, Acromentule, Boullu, Chaporouge, Hibou... et je peux continuer longtemps. Mais comme ce n'est en rien le sujet de l'article, je m'arrêterai la. On peut donc faire des listes bien inutiles. Et tout tient dans le nom : les listes inutiles, ça ne sert à rien !

2737 - Il faut savoir compter jusqu'à 10.
Ou pas. On peut aussi mettre des nombres aléatoires. Mais il paraît que ça pert tout l'intérêt de faire une liste. Il faut donc ne pas trop se tromper, et ça demande beaucoup de concentration !

4- C'est trop simple de tout abandonner.
Et oui, je vous parle ici de la maladie la plus répandue de notre génération : la flemme. C'est très simple : rien de mieux pour tout abandonner d'un bloc que de rassembler trop de choses sur un trop petit papier. Mais bon, voyons le positif. Ça fera un papier pour allumer le feu.

5- On se pose des questions existentielles.
D'après vous, est-ce qu'il faut écrire "écrire ma to do list" en première étape d'une to do list. Parce que c'est la première chose à faire, tout de même ! Voilà une jolie question pour se triturer les neurones, et retarder encore un peu... la liste des choses que l'on doit faire. Trop compliqué, les listes.

6- Ça nécessite de choisir un ordre dans les choses.
Et encore un moment de réflexion. C'est vraiment juste ça, les listes. En haut, on doit mettre l'élément le plus important. Et ça, ça nécessite d'en avoir un plus important que les autres. Random, ça peut aussi fonctionner après. Le risque a prendre, c'est d'avoir écrit "prendre le dîner" avant "faire à manger", mais ce n'est qu'un petit détail technique.

7- On ne peut pas dire qu'on a oublié.
Une excuse de moins que l'on peut utiliser. Certaines personnes osent de répondre : mais ! Tu avais ta liste ! ... Et donc ? Si on a même plus le droit de procrastiner en paix, maintenant, où va le monde ?

8- Être concis
Des fois, on s'éparpille sur des paragraphes entiers pour expliquer quelque chose de très simple. C'est pourtant très dommage, car c'est une pensée ou une idée qui aurait pu être exprimée en mots très courts, sur une ou deux lignes. Mais lorsqu'on l'écrit, on divague un peu dans différentes directions. Il suffit de penser à notre repas du midi pour réfléchir à quel paquet de pâtes on va choisir. On va donc se mettre à écrire des choses dans une liste qui nous seront totalement inutiles. Surtout qu'au final, on fera peut-être du riz. Pourtant, vous aurez tout de même passé quelques secondes à partager ma réflexion sur mon prochain repas, alors que cela ne vous apportera rien. Mais c'est plutôt satisfaisant d'écrire en se disant que malgré l'inutilité des choses écrites, quelqu'un aura pris du temps à le lire. Cela ne lui aura pourtant rien appris. Je préviens donc que la hauteur de la tour Eiffel peut varier de 15 cm selon la température, comme ça, vous aurez appris quelque chose.
Voilà pourquoi il ne faut pas divaguer et raconter sa vie sur un paragraphe.

9- Il faut un nombre pile.
14 raisons d'apprendre l'italien, ça sonne tout de même beaucoup moins bien ! Il faut toujours 5, 10, 15, 20, 100 éléments. C'est super contraignant. C'est donc pour cela qu'aujourd'hui, j'oserais briser les règles. Il n'y aura pas 10 éléments, mais 9. Il faut oser, parfois !

 

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Reportages de l'été

 

Mes chers Pédouziens, cela ne peut plus durer !
On pourrait croire que les vacances sont le terrain le plus propice à la détente, même chez les rédacteurs de la Gazette. Que nenni! En plus d'être missionnés pour écrire des articles pendant leurs congés, ils doivent affronter vents, marées et été afin de vous fournir des articles de qualité (d'ailleurs, la poudre de mandragore des Seychelles est exquise). Heureusement que l'on a déjà fait notre rentrée ! Imaginez le calvaire des vacances perpétuelles ?

Nous allons, dans cet article, vous présenter les prouesses que les héros de la Gazette réussissent chaque jour à accomplir pour notre bataillon de lecteurs !

Voilà les travaux d'Hercule de la rédaction, leur plus grandes hantises en ces temps de chaleur et de soleil! (On a déjà tenté trois danses de la pluie différentes dans les bureaux pour être certains que la rentrée soit fraîche)

 

Vous avez déjà essayé de taper avec une machine à écrire grippé par le sable ? On sait tous que c'est impossible. Et pourtant ! On nous envoie dans tous les coins du monde pour inspecter la qualité de l'eau, les dernières tendances du vendeur de chou-chou, et le résultat de la dernière partie de raquette de plage. Il y a trop de sable ! On en ramène toujours partout, dès qu'on pose un orteil sur la plage. Résultat ? Dès qu'une machine à écrire est grippée, toutes les autres sont contaminées, et on a un cluster sableux de rédacteurs en colère, avec des ampoules aux doigts.

 

Ce phénomène méconnu des plumes est notre plus grande hantise : on a déjà cassé la machine à écrire, il reste deux autres sets de beach volley à commenter, et le soleil est à son apogée. Qu'importe le nombre de parasols, ventilateurs et autres faiseurs de miracle, lorsque votre plume crépitera à cause de la chaleur , vous ne pourrez plus écrire, et en serez réduit à prendre des notes dans le sable.
 

La luminosité est surtout une affaire de photographe. Qui ne les a jamais vus à l'affût de l'angle parfait, de la lumière qui va bien, tout ça en effectuant un exercice d'équilibre impensable, pour une photo parfaite ? Ils souffrent déjà le martyr, mais en été, le plus dur est d'arriver à prendre la photo. Trop de soleil? Les modèles auront les yeux crispés et fermés, et impossible d'observer l'écran pour vérifier le rendu, il sera noir par contraste.
Enfin, le soleil décide d'aller se balader vers l'autre hémisphère? La lumière sera partie avant d'appuyer sur le déclencheur.
On vous le dit, mais si vous voyez une personne munie d'un appareil photo, sauvez-vous, ou donnez-lui des cookies.

 

En été il fait chaud! (Oui, on ne vous apprend rien) N'importe quel quidam arbore ainsi un granité, une glace, un quelque chose glacé ou liquide (parfois même les deux en même temps). Et lorsqu'on met ce genre d'atrocités dans les mains du plus grand nombre, attendez vous à la pluie! Rangez carnets et parchemins , vous allez être arrosés par des tâches tenaces et sucrées. Unique responsable : le soleil.
Non content d'être responsable de ce fléau, il va également sécher toute encore dans son encrier, à plus forte raison lorsque celui ci est la propriété d'un membre de la Gazette. C'est de l'acharnement! Surtout qu'il prend un malin plaisir à rendre malade n'importe quel reporter, obligé de courir toute la journée en plein soleil en déjouant les pièges mentionnés plus haut.

Maintenant, vous savez tout! (Enfin tout ce que j'ai pu écrire avant de rencontrer deux fouets, forts sympathiques ma foi) Il reste tout de même à aborder le problème des vac.... J'ai rien dit, j'ai rien dit.
Non, on a tout! Alors? Que pensez vous des reportages en été ?

PS : Ceci est humoristique! On prend des vacances, et nos adorables chefs font tout pour nous aider!
Alors merci à eux!
Quand à toi, lecteur, tu sais ce qu'il te reste à faire...

 

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Jeu - La rentrée à Poudlard12

Chers lecteurs,

L'équipe de la Gazette espère que vos vacances se sont bien passées et que votre rentrée ne vous épuisera pas trop. Pour vous remettre dans le bain, Cookies vous propose un jeu : des mots croisés ! Il porte sur la rentrée à Poudlard, alors pensez bien à votre liste de fournitures avant de remplir la grille ! (;
 

cliquez pour agrandir

 

On vous laisse jusqu'au 27/09 inclus pour envoyer par MP à Cookies la solution de ce petit jeu. Bien sûr, toute grille complétée, même partiellement, recevra quelques points de maison !

 

 

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L'été où... je suis devenue un flamand rose

 

L'été est toujours un moment étrange, où la plupart des moldus (et des sorciers, avouons le), migrent et adoptent des comportements inédits. Mais saviez vous qu'outre les soirées arrosées, les grasses mat' qui deviennent des grasses après-midi, et l'abonnement aux embouteillages, il peut arriver des choses bien pires? Certains d'entre nous reviennent... changés après les vacances, comme vous avez pu le constater pour cette rentrée.


C'est ainsi qu'il y a quelques années, j'ai vécu "The Summer I turned... flamant rose".
Lorsque je me suis réveillée, l'après-midi pointait déjà le bout de son nez. Il faut croire que les transformations en flamant rose fatiguent, puisque celà n'a évidemment rien à voir avec les bouteilles de rosé vides qui jonchaient la terrasse du bungalow. En essayant de me retourner pour échapper à la lumière qui m'agressait depuis la fenêtre, j'ai soudain eu la désagréable impression que je me désarticulais l'épaule. Étonnamment, cette sensation provenait bien de mon épaule, puisque j'étais posée telle un hippopotame en cours de sieste sur mon aile rose.

Une minute. Une aile. Rose. Une aile rose. Sur mon corps.

Avec un soupir, je décidais d'arrêter la boisson, au moins pour aujourd'hui, tandis que mon cerveau paniquait. Il avait en effet du mal à distinguer le pire des deux événements: que j'aie une aile, ou qu'elle soit rose. La rationalité, qui avait bu le plus, n'était pas encore réveillée, donc tout allait très bien. Après quelques exercices de gym, afin de décoincer mon aile, au cours desquels j'appris que j'étais également munie de pattes longues et fines (le rêve !), mon corps rose à plume fut soudain assis sur le lit. Ledit lit était en face de la salle de bain, dont la porte était posée sur le canapé à cause de mon incapacité à entrer dans la pièce porte ouverte, sans bloquer l'accès à la moitié du mobil-home.


Ouais.... Sacré cuite du côté de la rationalité apparemment, mais cette absence de porte me permit donc de m'observer dans le miroir, et de vérifier que oui, j'étais bien un piaf géant rose. C'était pratique quand même, j'avais pu vérifier sans sortir de mon lit. (La flemme était apparemment super résistante à l'alcool). Mon estomac plumu (dotés de plumes, pour les récalcitrants) gronda soudain, m'informant de deux choses: premièrement, que les piafs roses ne buvaient pas de rosé, à cause des liens familiaux (vous avez déjà essayé de boire votre arrière grande tante?), et que je voulais des crevettes.

Il était bien gentil, l'estomac à plumes, mais j'avais autre chose à faire que de parcourir six kilomètres à vélo pour des crevettes. Quel irrespect! Pendant mes déboires stomacales (Stomacaux? un piafal, des piafaux? aucune idée...), mon corps avait décidé de se lever du lit, mais m'envoya dans l'opération la tête dans le plafond. Il faudrait se plaindre à l'accueil. Les bungalows n'étaient absolument pas conçu pour les oiseaux roses ; je me décidai donc de chercher mon téléphone, afin de lancer un nouveau hashtag: #desplafondspourlesoiseaux.


Une chose en appelant une autre, mon agent du FBI attitré (j'en avais un depuis que j'avais cherché "comment étrangler sans laisser de traces" et "fabrication de bombes Pentagone", puisque le thème de la fête de ma cousine était les pentagones. Elle était vachement branchée géométrie. Mais ce n'était pas une raison, selon le coup de fil du monsieur du FBI), put soudain voir apparaitre dans mon historique de recherche: oiseaux roses grands crevettes. Je sus ainsi que ma transformation m'avait menée vers l'espèce des flamants roses qui mangeaient des crevettes pour l'esthétique, et qui étaient utilisées pour des spectacles.


Intéressant.


Tenaillée par la faim et la chaleur, c'est revêtue d'un joli short à palmier que je sortis ainsi pour me baigner, et en profitai pour manger les quelques bestioles qui traînaient dans l'eau. Soudain, une vague plus grosse que les autres surgit, et l'engloutit toute entière.

- Arrête de te finir au rosé ! Tu avais promis de nous rejoindre à la plage!

Je me réveillai ainsi en sursaut, agressée par un seau d'eau, quelques plumes roses traînant sur le tapis...

 

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