La Gazette du Sorcier - Edition Poudlard12

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15 févr. 2020

Hors-Série n°2


Passé l'effet de surprise du 1er numéro Hors-Série de la Gazette, il fallait à nouveau marquer le coup. Le plan était parfait : un article bien construit et pertinent de Kyle ; des gifs rigolos ; un sondage léger ; la redécouverte d'un billet d'humeur de Wilde ; de jolies illustrations de Kyara et Celty...

Oui mais voilà. Parfois les choses ne se passent pas comme prévu. Il arrive qu'on nous mette des bâtons dans les roues, qu'on nous gâche notre enthousiasme, qu'on réduise à néant nos efforts pour vous proposer un contenu de qualité. En disant cela, bien sûr que j'ai une cible en tête. Et comme l'éditorial est l'espace de liberté du Rédacteur en Chef, je ne me gênerai pas pour donner son nom.

Dotclear. Que ce blog de merde aille bien se faire cuire un œuf périmé.


En vous souhaitant malgré tout une bonne lecture.

 

SOMMAIRE

Cliquez sur les titres pour les faire apparaître en-dessous.

Soyez amoureux
Rédigé par Kyle Gallerion

Le Hors-Série n°1 en gifs
Rédigé par l'équipe

En attendant Godotclear
Rédigé par Ray Paro

Publicité
Illustré par Celty Roze

Sondage : À quel célèbre nounours ressemble Artus Myrtle ?
Rédigé par Ray Paro

P12 perd de sa mag... Et ta sœur ?
Rédigé par Wilde

Création libre
Rédigé par Ray Paro, illustré par Celty Roze



Rédigé par Ray Paro
Illustré par Sukyana Singh
Conceptualisé par Celty Roze

À l’origine, je voulais écrire un article sur « comment j’ai détesté participer au Tournoi du Dragon ». Quelque chose de très construit – mais pas forcément très constructif. Quelque chose de très acide, acerbe. Ah ! Ce serait bien croustillant sous la dent ! Je voulais laisser éclater ma rage. C’est un sentiment très puissant – et il se déclenche si facilement ! Et qu’est-ce qu’on s’en délecte. Dire du mal de quelqu’un ou quelque chose, c’est actif, c’est rechercher la petite bête et la déchirer de ses canines acérées. Ça attise les tripes, ça gonfle l’égo. Et si on pense faire « dans l’intérêt » de l’autre, alors là c’est encore mieux ! C’est nous qui avons raison ; qui pour nous contredire ? Ô quel sentiment de jouissance !

Soudain, je me rends compte de ce à quoi je suis en train de penser. À quoi servirait un tel article ? Peut-il tirer un sourire amusé, améliorer notre petite communauté, y mettre de l’entrain et de la bonne humeur, une ambiance chaleureuse et joyeuse ? Ai-je vraiment oublié le thème de la saga qui nous a réunie ? Ai-je vraiment oublié, dans une histoire de magies parfois des plus redoutables, laquelle était cependant la plus forte de toutes ?


Les différents types d’amour

Vous savez ce dont la Saint-Valentin est communément la fête ? De l’amour. Pas des amoureux. Les Grecs distinguaient quatre sortes d’amour qu’ils exprimaient par les jolis noms de philia, agapê, storgê et éros. Je vous ferai grâce d’un exposé plus complet et ne vous interroge que sur ceci : l’amour entre amoureux.ses, combien de ces quatre types croyez-vous qu’il recouvre ? C’est bien vrai : il ne correspond qu’à l’éros seul. Serait-il le plus important alors ? Non. Serait-ce le plus utilisé ? Loin de là. Le plus fort, le plus facile à déclencher ou à cultiver ? Toujours pas. L’amour « romantique » n’est qu’un des autres types d’amour. Dans ces autres-là vous trouverez au hasard : la sincère amitié, l’émerveillement pour le monde, la tendresse d’une mère…

Ce n’est que peu de répéter que les célibataires ne doivent pas se sentir coupables d’être seul.e.s le jour de la Saint-Valentin, comme si la valeur de leur vie était basée sur leur capacité à se trouver en couple (ou potentiellement) à cette date-là. C’est la notion même de « bonheur = couple » qu’il faut remettre en question. Vous voulez célébrer la Saint-Valentin ? Préparez-vous une soirée avec vos meilleurs potes. Allez rendre visite à vos chers grands-parents. Offrez-vous une séance de massage ou de ciné, selon vos goûts. « Attends là ! » je vous entends me dire, « c’est une activité solo, ça ! » Bien entendu que ça l'est. Et c’est même celle que je recommanderai au-dessus de toutes les autres. La raison, la voici :


L’amour commence avec soi-même

On cherche « l’amour » (comprenez bien : à se mettre en couple) dans l’espoir d’être enfin aimé. Et dans une société où cet amour doit être parfaitement exclusif, il est normal de s’attendre à ce qu’il nous mette à l’abri pour toujours ; nous garantisse que non seulement l’on sera aimé, mais en plus pleinement, davantage que tous les autres. Cassons cette pauvre illusion, voulez-vous ? Nous venons d’établir que l’amour pour notre partenaire peut et n’a pas à être supérieur à l’amour pour nos amis ou notre famille. Ce n’est pas en fouillant les moindres recoins de la Terre que vous trouverez la personne qui vous aimera le plus et le mieux. Cette personne, ça ne pourra jamais être que vous-même. Pour certains (les moins narcissiques d’entre nous) c’est dur à accepter – mais c’est ainsi. S’aimer soi-même, ce n’est pas se satisfaire égoïstement de sa propre compagnie ou refuser d'approcher celle des autres. S’aimer soi-même, c’est déjà prendre soin de son corps. La base, c’est de se laver les dents. Le niveau au-dessus, c’est écouter sa fatigue, savoir prendre le repos et le calme nécessaire quand on a les nerfs à vif, quand notre cerveau nous implore de nous arrêter. C’est choisir ses vêtements pour se plaire à soi-même et être confortable toute la journée. C’est comprendre qu’il n’y a rien de mal à avoir un date avec soi-même. Ce n’est pas s’empiffrer à toutes les occasions, mais se poser de temps à temps pour déguster un bon dessert ou un bon plat.

« Soi-même » c’est le pire conjoint, le pire coloc de tous les temps : on connaît tout de ses défauts, toutes ses faiblesses, tous ces détails qui le rendent « moche » et insupportable. Par conséquent, apprendre à l’aimer, c’est apprendre à aimer tous ses semblables – ceux-là mêmes que nous nommons « les autres ».


Conclusion : il faut aimer

Nos sentiments sont infinis et infiniment complexes. On ne « trouve » pas « l’amour » lorsqu’on parvient enfin à se mettre en couple. L’amour c’est ce qui relie positivement deux êtres humains, c’est ce lien bizarre, mais fort, qui nous permet, chaque jour, d’avancer vers une société meilleure. Même ici sur P12. Il ne s’agit pas d’être naïf ou candide ou hypocrite ou positif de force ou même de tout pardonner sur-le-champ. Il s’agit d’aimer. C’est l’amour – l’amour pour soi-même, pour l’autre, pour ce qu’on veut construire – qui nous permettra de critiquer avec efficacité.

Alors aimez-vous bande de pleutres.

Quand Ray nous propose du travail supplémentaire.

 

 

Quand Ray dit finalement que ce n'est pas obligatoire.

 

 

Quand t'as postulé avant de savoir qu'il y aurait du taf en plus.

« - C'est une blague ? - Ils nous ont bien eu. »

 

 

Mais que c'est quand même un super concept.

 

 

Quand Ray lance des idées mais que c'est Celty qui doit tout exécuter.

 

 

Quand on est super motivés et que le blog plante à ce moment là.

 

 

Quand Celty vient à la rescousse avec une page html.

 

 

Quand Celty se lance dans l'explication du fonctionnement de son système d'onglets.

 

 

Quand tu vois que doclear marche toujours pas.

 

 

Quand Ray propose d'illustrer lui-même un article.

« - J'aimerais bien voir ça. »

 

 

Quand tu viens de finir tes articles ou tes illustrations ou parfois les deux pile dans les temps.

 

 

Quand tout est prêt et qu'on a plus qu'à attendre le blog.

 

 

Quand le blog reste indisponible jusqu'au dernier moment.

 

 

Quand on fête la publication aux Trois-Balais.

 

 

Après quelques verres de Whisky Pur Feu (Pour oublier Dotclear).

 

 

Quand les lecteurs découvrent le nouveau format.

 

 

Quand les lecteurs réagissent au hors-série.

 

 

Quand on reçoit des "Pauvre Guideone" suite au sondage.

« - Je vois ça comme le triomphe de l'esprit humain, de pouvoir se soucier à ce point de quelque chose d'aussi futile. »

 

 

Quand on voit les retours positifs de membres emblématiques de P12.

« - Il est célèbre et il me parle. »

 

 

Quand Aidan trouve des trucs à redire.

 

 

Quand Elea découvre le commentaire d'Aidan sur sa publicité.

 

 

Quand on découvre le clash dans le topic de parution.

 

 

Quelques échanges plus tard.

 

 

Le mois suivant, quand on doit bosser sur le HS n°2 et que le blog est de nouveau inaccessible.

« - Et c'est reparti. »

 

ARTICLE. - Toi aussi, tu dois être content, au fond, avoue-le.

RAY. - Content de quoi ?

ARTICLE. - De m'avoir écrit.

RAY. - Tu crois ?

ARTICLE. - Dis-le, même si ce n'est pas vrai.

RAY. - Qu'est-ce que je dois dire ?

ARTICLE. - Dis, Je suis content.

RAY. - Je suis content.

ARTICLE. - Moi aussi.

RAY. - Moi aussi.

ARTICLE. - Nous sommes contents.

RAY. - Nous sommes contents. (Silence) Qu'est-ce qu'on fait, maintenant qu'on est content ?

ARTICLE. - On attend Dotclear.

RAY. - C'est vrai.

(Silence)



Ce deuxième Hors-Série devait sortir le samedi 15. Tout était prêt en fin d'après-midi. C'était sans compter sur notre ennemi numéro un.

Dotclear. Rien qu'en écrivant ce mot, j'ai les poils qui s'hérissent. Il est difficile pour le lecteur lambda de comprendre l'aversion que provoque ce blog chez les Rédacteurs/Photographes/Chroniqueurs en Chef.

C'est qu'il y a beaucoup à (mé)dire le concernant. D'ailleurs, un seul article comme celui-ci ne suffirait pas. Du coup on a lancé l'idée en salle de rédaction de faire une édition spéciale : un Regard sur dotclear pour expliquer son fonctionnement ; un article gifs sur ce que nous inspire ce blog ; un reportage de Kyle plein de dérision ; une interview des Chroniqueuses en Chef par Marc à ce sujet ; un Tu sais que tu utilises dotclear quand ; un Psychotest "quelle fonctionnalité bidon de dotclear es-tu ?" ; une affiche anti-dotclear par Elea ; les perles du blog par Ray... Il y a matière à faire un journal complet rien qu'avec ce sujet.

Mais s'il fallait résumer dotclear en quelques mots, j'utiliserais certainement toutes les insultes du dictionnaire, pour rester impoli. Lorsque vous voyez que la page d'un journal ne fonctionne plus ("502 bad gateway"), dites-vous que les problèmes sont encore plus fréquents avec notre outil de travail (en général quand les journaux sont inaccessibles, c'est que le blog est en "404 not found" depuis deux jours - donc il y a souvent des cas où la page d'administration est hors-service mais pas les journaux). Impossible d'accéder aux fonctionnalités de dotclear, mettre en ligne nos articles, publier quoi que ce soit. Imaginez que vous ne puissiez faire vos activités pédouziennes que la moitié du temps, parce que les sections, onglets ou modules ferment inopinément. Déjà que c'est la panique générale les rares fois où P12 ou le tchat cessent de fonctionner...

Dotclear c'est ça. Un outil claqué au sol, inaccessible dans les pires moments, qui nous empêche d'avancer comme on le voudrait, qui gâche constamment nos efforts. Et ça encore c'est que la partie plus ou moins émergée de l'iceberg. Je ne vous raconte pas tous les soucis de fonctionnalités quand le blog daigne enfin marcher. Les boutons qui ne veulent pas fonctionner, les codes html qui font n'importe quoi tout seuls, la médiathèque d'images qui est prise de tête... Depuis 2012 que j'utilise dotclear grâce à cause de mes postes, j'en ai vu passer des vertes et des pas mûres.

Souvent, des gens viennent me voir pour me dire que la Gazette ne fonctionne plus. MERCI JE SAIS. J'ai le blog constamment ouvert, je suis le premier au courant quand il fait de la merde, et : j E . n E . p E u x . r i E n . y . f a i r E.
CE BLOG AURA MA PEAU ! On pourrait réfléchir à d'autres moyens de vous proposer le même contenu, mais ce n'est pas si simple que ça.

Mais zen, restons zen. Malgré le stress et la frustration qu'engendre dotclear, je tiens bon. J'ai plus beaucoup de cheveux, mais mon cerveau n'est pas encore trop attaqué. Alors pour conclure, je parlerai au nom de tous les gens qui gèrent les journaux de P12 : nous avons d'autant plus besoin du soutien des pédouziens et de savoir que vous nous lisez malgré les difficultés que l'on rencontre. Sans vous, on baisserait les bras beaucoup plus vite à force d'user notre énergie dans ces conditions. Merci.

Avant le sondage du mois, voici les résultats du précédent. Nous vous invitions à répondre à la question : « À quoi vous fait penser le sourire de Galahad Scamander ? »

C'est la réponse « À un message d'Artus : aimable et bienveillant » qui arrive en tête des suffrages avec 36% des votes ! La preuve en image :


cliquez pour agrandir


Galahad-Artus, une transition toute trouvée. Peu après la nomination de Galahad en tant que Directeur Adjoint, c'est Artus Myrtle qui a rejoint le Conseil d'Administration comme Ministre Adjoint. Une information somme toute assez futile, ne nous le cachons pas.

Le principal fait d'arme d'Artus ces dernières semaines - et qui résume à lui seul la longue aventure du jeune homme sur Poudlard12 - c'est d'avoir gagné le Phénix du pédouzien le plus gentil. Une récompense logique pour beaucoup, mais qui nous amène, nous à la Gazette, à prendre des précautions. Nous devons enquêter sur le sujet. Il nous a donc paru judicieux, dans un premier temps, de comprendre quel type de gentil était le nouveau Ministre Adjoint selon vous.

Nous vous invitons donc à répondre au sondage suivant :


À quel célèbre nounours ressemble Artus Myrtle ?

Baloo : avec lui il en faut peu pour être heureux.
Groscopain, le Bisounours orange : cliché de la niaiserie.
Nounours (Bonne nuit les petits) : toujours proche des jeunes membres du site.
Pedobear : un peu trop proche des jeunes membres du site.
Hagrid : un cœur de géant.


Empruntez ce portoloin pour voter !

2012. Poudlard12 est en proie à de vives agitations. L'ambiance du site se dégrade petit à petit. Malgré les efforts et l'activité du personnel, les membres ne retrouvent plus la "magie d'avant". C'en est trop pour Wilde - alors Directeur de Maison, Adjoint en HDlM et Photographe de la Gazette - qui dégaine sa plume la plus affûtée pour combattre cette vision pessimiste.
Un article paru dans l'édition n°76 de la Gazette (février 2012).

PORTOLOIN VERS L'ARTICLE ORIGINAL

 

 


Depuis plusieurs années maintenant, on entend à tout va et vient de la part de tout le monde et n’importe qui que « Poudlard12 perd de sa magie ». Chaque année, mois, jour, minute et seconde, notre chaleureux château irait de plus en plus mal. Si vraiment c’était le cas, je pense qu’il n’en resterait aujourd'hui plus grand chose. Dès qu'une animation ne marche pas, « Poudlard12 perd de sa magie ». Dès que quelqu'un démissionne, « Poudlard12 perd de sa magie ». Dès qu’un recrutement remporte moins de succès, « Poudlard12 perd de sa magie ». Dès que Lust va aux toilettes, « Poudlard12 perd de sa magie ».

Mais où va le monde ? Le Pédouzien est devenu chiant, et il le revendique maintenant, afin de montrer son ancienneté, afin d'ennuyer (restons polis) les personnes géniales qui donnent de leur temps pour le site (surtout moi), afin de faire comme les vieux en espérant connaître la renommée qu'il n’aura jamais, afin de se faire remarquer, ou tout simplement de pouvoir aller lécher la cuvette après le passage de Casmir.

 

 

Il est vrai que notre école connaît des hauts et des bas, d’autant plus que le mouvement HP s’essouffle peu à peu avec la sortie des sept livres et films. Mais ces personnes que rien ne contente, se rendent-elles compte qu’elles sont relous ? Qu’elles contribuent à cette perte de magie ? Pensent-elles que cette gourde de Luna Lovegood, ou ce niais de Colin Crivey auraient osé dire à leur Directeur (Dumbledore ou Rogue, faites votre choix), que leur école était en train de sombrer ? Pensez-vous que ce binoclard d’Harry Potter, aussi focu qu'il était, aurait simplement imaginé dire à Dumbledore : « Eh mon pote, bouge ton boule, y a ton école qui coule ! » ?

La bonne réponse est non. Si vous avez répondu oui c'est que vous êtes aussi intelligent qu'un troll des prairies. Pensez-vous sincèrement que Lust est aveugle, consanguine et déficiente mentale ? Qu'elle ne se rend compte de rien, et qu'il faut lui rabâcher quelque chose qu’elle peut constater et déplorer elle-même tous les jours ? Si votre réponse est encore oui, vous pouvez vous jeter de la tour d'astronomie, ça nous fera un boulet en moins.

 

 

La magie, elle vient des personnes qui peuplent ce château et traversent ses couloirs tous les jours ; des liens qui se créent autour d’un univers, et malgré la distance ; des choses les plus simples que nous faisons tous les jours sur Poudlard12 et que nous prenons pour acquises car elles sont là depuis toujours.

Un philosophe célèbre dont j’ai oublié le nom a dit : « Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux ! » Vu le nombre de fans de Disney qu’on peut croiser chaque jour dans le château, ne pourrait-on pas penser que cette phrase est aussi acquise que ce que nous faisons à chaque fois que nous foulons le sol de notre école ? Pensez-vous que c’est en se plaignant que cette magie « perdue » va revenir ?

Un scientifique moldu du nom de Lavoisier et que certains d’entre vous connaissent peut-être a dit : « rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme ». Cette règle élémentaire de la physique et de la chimie moldue veut tout dire je pense. Non, cette magie n’est pas perdue. Elle est toujours là, c’est juste que nous y sommes trop habitués pour nous en rendre compte.


Vous êtes chiants, cet article aussi, je vous laisse donc méditer sur ces belles paroles en espérant ne pas fouler un neurone de vos cervelles de moineaux (aucune atteinte à Serdaigle bien sûr, je n’oserais jamais).


Article écrit par Wilde qui en a marre des relous qui ne savent rien faire à part se plaindre perpétuellement telles des moules détachées de leur rocher.

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