La Gazette du Sorcier - Edition Poudlard12

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

[Le scarabée] Beauté langoureuse et amour reptilien

Beaute_langoureuse_et_amour_reptilien.png


Le problème, quand on a des yeux partout, comme moi, c’est qu’on voit souvent des choses qu’on aurait bien aimé ne pas voir, justement. Comme par exemple, l’histoire relativement inqualifiable qui s’est déroulée dans les coins sombres du château, entre une certaine Florence Shawn et un certain Lume de Dio. Mais ne dites pas à ce dernier qu’il a flirté avec Florence, il l’ignore encore. 

En effet, après avoir Lume s’illustrer dans la bibliothèque en faisant du gringue à la professeur en soins aux créatures magiques, nous aurions pu croire qu’une histoire d’amour à l’eau de rose (ou de purin) était née entre eux deux. Ceci était faux. Illisana River, connue pour ses penchants particuliers, ne faisait en fait que partager ses expériences avec le descendant de Vélane – qui doit être un petit cousin bien éloigné au second degré du troisième trois-quarts vu comment il ne chope rien depuis son arrivée au château. Le contenu de cette conversation parlait donc bel et bien de créatures en tout genre, et de leur capacité. On sait tous que les animaux apportent la joie dans la vie des humains… vous ne vous imaginez pas à quel point. 

Mais recommençons toute cette histoire avec un autre point de vue. Je vous présente Florence Shawn, blonde, sulfureuse, professeur de métamorphose et animagus à ses heures perdues. Et elle perdait justement ses heures un peu trop près de la cave des bêta-lecteurs, puisqu’elle eut le loisir d’entendre la voix chantante de Lume. Enfin, entendre est un bien grand mot pour un serpent… nous dirons donc que le pouvoir de Vélane du jeune homme avait enfin fait effet sur quelqu’un, et que ce quelqu’un ne comprenait absolument rien à ses paroles tendancieuses. Charmée, Florence serpenta le couloir pour retrouver l’élu de son cœur, l’indien qui avait enfin su envoûter le cobra en elle. 

Et c’est à cet instant que, dans une salle recluse, ancien nid d’animaux visiblement crotteurs, la rencontre se fit entre le mamba et le jeune homme. A ce jour, seuls mes yeux sont encore brûlés d’avoir vu le contact entre ces deux espèces. Le spectacle, aux odeurs subtiles et fécales, m’a dévoilé les techniques originales de votre chère professeure de métamorphose pour combler ses désirs phalliques, ainsi que l’autre bord du bêta-lecteur, tour à tour plutôt gay ou plutôt zoophile. Jusqu’à l’explosion finale : même les estomacs les plus accrochés auraient rendu leur dîner à ce moment-là. Ce que je fis, tandis que le gros mamba plus si noir s’échappait de la salle. 

J’en profitai pour faire autant. Deux jours après, la beauté de votre cher Lume n’avait pas fait plus de ravages, mais son journal intime (je vous avais dit que j’avais des yeux partout) relatait un « moment de fougue intense entre un serpent sauvage et lui ». Lume, je te présente Florence, Florence, tu connais déjà Lume. 

Article écrit par Lia R parce qu'elle connaissait l'histoire de Lume, contrairement à Alexeievna, et illustré par William Jones.

Partager : Partage

Commentaires

1. Le 3 oct. 2014, par Ginny

Dis donc, on en apprends tous les jours...

2. Le 22 oct. 2014, par Carla

Comme quoi, fouiner est un métier à risques...

© 2009-2024 Poudlard12.com :: Propulsé par Dotclear