Après le départ de Mamie Nevrosa dans les méandres de la préfecture d’une maison qui préfère manger à s’occuper des petits vieux, tout le château se retrouvait pauvre, seul, et dépourvu de conseils. Mais le chocolat périmé et l’odeur de vieilles personnes ne s’étant jamais vraiment enfui, une autre mamie a cru bon de ramener son tricot jusqu’au château. Ou tout du moins aurait-elle bien voulu si une certaine Lia R ne l’avait pas rattrapé vite fait bien fait pour en faire une équipière de choix pour la Gazette. 

Nous avons eu donc l’honneur d’accueillir la très célèbre Minerva McGonagall ! Mais vous imaginez qu’avec le temps… les potions en tout genre ont eu le temps de bouillonner dans sa boite crânienne, et que tout n’est plus aussi stricte qu’auparavant. Notamment depuis sa dernière transformation en chat, qui lui a laissé la moustache apparente H24. 

En effet, du haut de son grand âge, Minerva McGonagall n’a plus vraiment le même prestige. Ceci dit, le manque d’affection qui l’avait rendue aussi frigide tout au long de sa carrière s’est depuis bien longtemps envolé puisqu’elle aussi cherche maintenant à dorloter – comme elle le peut – les charmantes têtes blondes qui passent sur son chemin. Elle n’hésite donc pas à distribuer caresses sèches, tapettes sur les joues et conseils d’un autre temps à tous ceux qui le lui demande. Ou plutôt, elle n’arrête pas. 

C’est pourquoi, chers lecteurs, nous vous demandons de l’occuper d’un mois sur l’autre en venant lui poser vos questions. Si vous avez des problèmes d’ordre magique, amoureux, politiques, relationnels, existentiels, différentiels… elle est là pour vous ! Un sujet sera très bientôt mis en place dans nos bureaux, où vous pourrez tous poster. Mamie Minerva – puisque c’est désormais comme ça qu’elle veut qu’on l’appelle – répondra à ceux qui lui plaisent le plus (et aux autres… si seulement elle y pense) et vous verrez dans chaque Gazette les réponses à vos questions !

Nous comptons donc sur vous pour passer du bon temps multi-générationnel comme vous l’entendez (oui, oui) tant que vous n’oubliez pas de la faire écrire pour la Gazette !