Parlez à un joueur de n’importe quel jeu collectif – comme le Quidditch, pour être original – et vous réaliserez à quel point… le sport peut n’avoir aucun sens. Certes, le Quidditch est un sport où il y a tactiques, esprit d’équipe, sport et transpiration de jeunes athlètes à la plastique presque parfaite. Mais ça n’est pas tout. 

Loin de toute la cohue provoquée par les coupes inter-maison, nous observons maintenant des petites manifestations organisées pour la crème des joueurs. Et dans le cas précis, pour la crème des attrapeurs : Lust Caféine a effectivement mis en place une « Course au vif d’or ». Aussi stupide que de courir après un ballon, c’est ce que vous avez dit ? Ou sans ballon ? 

Eh bien laissez-moi répondre que c’est carrément méchant. Dépourvu de sens pour nous, simples sorciers, si vous voulez, mais il faudra tout de même avouer que plusieurs d’entre vous se sont rendus sur le stade de Quidditch. Et cela, non pas pour essayer de gagner en attrapant une quelconque balle en or. Non, non. Vous avez bien essayé, mais ça ne prend pas avec moi. Vos yeux rivés sur les fesses d’Hell Zaran, sur le décolleté monstre de Cristal, vos rires démesurés aux petites blagues de Roxas ou vos faces béates devant les phrases philosophiques d’Isuki vous ont trahis ! 

Aussi, si ces quatre joueurs se sont merveilleusement bien illustré sur un terrain où tous les éléments n’étaient pas en leur faveur – nous ne parlerons pas d’un bot capricieux mais nous lui froncerons quand même les sourcils – le compte rendu que nous dresse l’arbitre permet aux yeux les plus habiles de lire entre les lignes. Sans compter les petits messages laissés par les fans. Oui, ceux mentionnés un peu plus hauts. Ceux qui sont là autant pour jouer que pour racoler. 

Car avoir un joueur de Quidditch célèbre dans sa famille – voire dans son lit – est une mode de plus en plus répandue entre les murs du château. Et qui ne sauterait pas sur Hell, Cristal, Isuki ou Roxas ? Et oui, outre la course au vif d’or, nous avons pu assister à la course aux attrapeurs. A-t-elle été fructueuse ? Telle est la question. Nous nous entretiendrons bientôt avec Opale Tal Moundine à ce sujet, et ce, dès le prochain numéro.