La Gazette du Sorcier - Edition Poudlard12

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Chronique des Bibliothécaires : Rires d'effroi aux milles & un livre !

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Voici de retour, pour vous chers lecteurs avides de nouveaux romans à dévorer, l'habituelle chronique de la bibliothèque ! A chaque numéro, un bibliothécaire nous présente un auteur et son œuvre. Aujourd'hui, Kristell Aelez, qui parcourt depuis peu les splendides rayons jonchés de livres en toutes sortes, nous parle d'un écrivain aux histoires sombres, effrayantes, et néanmoins allégées d'une pointe d'humour : Scar Macnair.

Bonne lecture !

Rawen

La bibliothèque vous accueille une nouvelle fois à venir découvrir ses mystères et ses écrivains cachés à travers les rangées d’étagères. Ce mois-ci, vous découvrirez le talent de Scar Macnair. Peut-être n’avez-vous encore jamais osé vous frotter à l’angoisse et l’horreur de ses histoires, mais sûrement l'avez-vous remarqué dans la partie humour ! Non ?! Vous avez tort ! Oui, la bibliothèque le proclame haut et fort. Certes, ses histoires paraissent au premier abord effrayantes, mais l’on y découvre vite une pointe d’humour, perçante d’ailleurs !

Dans « Il faut sauver Sirius Black », on découvre le jeune Harry Potter dans une scène rappelant fortement l’Ordre du Phénix, lorsque que Harry a sa vision et part sauver son parrain. Mais la similitude s‘arrête là. La peur mêlée à l’humour, donne un mélange détonnant. Scar Macnair sait reprendre l’histoire et l’arranger à sa manière, et nous on aime ! Cette histoire n’est de toute évidence pas finie, mais on attend la suite avec impatience !

Continuons tout de suite avec « Le secret de la souris blanche », cette fois-ci l’histoire se déroule après la destruction de Voldemort, par un bébé Harry Potter. On y découvre un mangemort, des espions, et surtout des agents ! Tout ça dans une atmosphère délurée, malgré le tragique de la scène. Une histoire courte, mais bien ficelée. Scar Macnair a même pensé à glisser du langage msn, sans que l’on ne puisse rien y redire.

Pour la gazette, nos intrépides bibliothécaires ont réussis à capturer l’auteur du mois, et grâce à du veritaserum préparé par Eldarion, à le faire parler ! Voilà ce qu’il nous a confié.

Scar Macnair, âgé de 17 ans a commencé à écrire dès « l'âge de 10 ans. Il s'agissait de récit du même style qu'Harry Potter ». Il se souvient encore « d'un petit livre offert à mes grands-parents à mes 11 ans qui se nommait Le monde d'Elesmeria 1: A la lisière de la forêt. » Il a d’ailleurs confié, « si je retrouve ce petit livre il pourrait apparaître un jour dans la bibliothèque de P12 ... ».

Sa principale source d’inspiration sont les « livres de J.K Rowling », dont son tome préféré est le septième où il y a toutes les révélations sur Drago Malefoy, Severus Rogue et Peter Pettigrew, ses personnages préférés et selon lui, « des personnages clés ». Scar Macnair « étudie beaucoup les personnages qui appartiennent à cette auteur de talent » et n’hésite pas à « les imaginer, d'après les critères de J.K, dans des styles bien différents ».

Mais la bibliothèque se demandait : comment arrivait-il si bien à mélanger l'angoisse et l'humour ? A cela il répondit : « En fait, ce n'est pas sorcier, je m'appuie toujours sur des personnages sombres tels que Peter Pettigrew (Miss Zizanie), Lord Voldemort (Procès, Il faut sauver Sirius Black), Drago Malfoy et Severus Rogue (Série Être un Serpentard). Il est tellement amusant de les exploiter et de les mettre parfois dans des situations impensables. Par exemple, dans Procès, Lord Voldemort vient d'être capturé et se fait juger pour tous ses crimes. C'est totalement fou ! Qui pourrait penser que Lord Voldemort se ferait un jour capturer ? Certes, c'est le résumé de l'histoire, mais le contenu, la façon dont se passe ce jugement est encore bien plus imprévisible que cette situation "humiliante" pour le Seigneur des Ténèbres (ou pas, je vous laisse découvrir ça dans mon livre).

Scar Macnair « aime beaucoup exploiter des côtés soit plus sentimentales (Série: Être un Serpentard), soit plus fantaisistes (Il faut sauver Sirius Black, Procès) tout en gardant une ambiance sombre. » C'est sa philosophie littéraire.

Pour lui , « l’écriture a toujours été le meilleur moyen d'expression afin de communiquer mes idées et mon ressentit sur beaucoup de choses. C'est un art qui nous permet à la fois d'inventer, de communiquer et de rêver. J'ai toujours ressenti le besoin d'écrire. C'est vital quand on a beaucoup de choses à dire. Cela nous permet de nous échapper de notre monde et de nous plonger dans notre bulle, dans notre imaginaire ... Du moins, c'est comme ça que je le ressens. »

Sur ces mots, l’effet du veritaserum s’estompe, et notre auteur s’enfuit. Il y aurait pourtant encore tant à dire sur cet auteur. Mais, que voyons-nous là, vous dormez ?!

Alors on vous laisse, et n’hésitez pas à passer dans nos splendides rayons ! L’équipe de la Bibliothèque sera enchantée de vous guider à travers le labyrinthe des mille et un livres.

Article écrit par Kristell Aelez, illustré par Hikari de Chantraine.

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